Avant de parvenir à la société moderne que nous connaissons tous, le monde était régis par des Divinités et des Calamités qui sont aujourd’hui représentées comme des Dieux et des Démons. Entre ces deux forces titanesques se trouvaient les Hommes, simples
Le casino de cette ancienne maison est un des casino les plus populaires pour les brigands en tout genre. En y entrant un bruit assourdissant de machines à sous, de cris, et d'engueulades se diffuse dans cette atmosphère des plus sombres et des plus inquiétantes. Des paris sont hurlés à tue tête et le bruit des dés qui roulent provoque généralement l'angoisse de ceux qui ont osé relevé le moindre défi. Ceux qui viennent en ce lieu sont déjà soûl et bien amochés par les effervescences du bar qui se trouve de l'autre côté de cette cour dans le Hutong.
Comme le casino, le BraBraBar est un lieu mal fréquenté où se jouent des jeux d'alcool qui peuvent conduire certains à la mort. Comme le nom l'indique, ce bar renferme une maison close et un karaoké. Ceux qui ne viennent que par curiosité et pour découvrir de plus près cet endroit incongru aux milles rumeurs auraient dû s'en abstenir car une fois entrés, ils sont piégés par des monstres et autres créatures démoniaque : ils n'en sortiront plus jamais. Celui qui a œuvré en parti pour la réhabilitation de cet endroit n'est autre que l'une des quarte Grandes Calamités, Suprême parmi les Suprêmes.
Les Hutong de Pékin petits labyrinthes anciens datant de plus de 800 ans. Leur nombre diminue cependant très vite, laissant place à la modernité avec des bâtiments et des centres commerciaux, ce qui n’allie pas la perfection la tradition et la modernité. Les hutong sont constitués par des lignes de siheyuan, des habitations avec une cour carrée intérieure, et ceux-ci se joignent les uns aux autres, formant ainsi les hutong. Chaque ruelle peut comprendre une centaine de maisons, les cours ouvertes sont reliées entre elles par des galeries. En se perdant allégrement dans ces petits dédales pékinois, on peut découvrir des petits moments de la vie à Pékin. Ce labyrinthe de ruelles a conservé une âme véritablement pékinoise. Bien que la bicyclette est un moyen de locomotion idéal pour visiter les Hutong, la marche à pied est très agréable. On peut facilement se perdre dans ce dédale tant nous pouvons être émerveillés par ce côté mystique et traditionnel qui règne dans les Hutong. Dans l’ancien temps, peu de chevaux passaient par les Hutong et les voitures encore moins. Les Hutong formaient une ville immense à eux seuls au puissant gris perle. On pouvait aisément se retrouver dans des résidences de nobles, des écoles, des habitations modestes ou encore les bordels.
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Le casino de cette ancienne maison est un des casino les plus populaires pour les brigands en tout genre. En y entrant un bruit assourdissant de machines à sous, de cris, et d'engueulades se diffuse dans cette atmosphère des plus sombres et des plus inquiétantes. Des paris sont hurlés à tue tête et le bruit des dés qui roulent provoque généralement l'angoisse de ceux qui ont osé relevé le moindre défi. Ceux qui viennent en ce lieu sont déjà soûl et bien amochés par les effervescences du bar qui se trouve de l'autre côté de cette cour dans le Hutong.
Comme le casino, le BraBraBar est un lieu mal fréquenté où se jouent des jeux d'alcool qui peuvent conduire certains à la mort. Comme le nom l'indique, ce bar renferme une maison close et un karaoké. Ceux qui ne viennent que par curiosité et pour découvrir de plus près cet endroit incongru aux milles rumeurs auraient dû s'en abstenir car une fois entrés, ils sont piégés par des monstres et autres créatures démoniaque : ils n'en sortiront plus jamais. Celui qui a œuvré en parti pour la réhabilitation de cet endroit n'est autre que l'une des quarte Grandes Calamités, Suprême parmi les Suprêmes.
Les Hutong de Pékin petits labyrinthes anciens datant de plus de 800 ans. Leur nombre diminue cependant très vite, laissant place à la modernité avec des bâtiments et des centres commerciaux, ce qui n’allie pas la perfection la tradition et la modernité. Les hutong sont constitués par des lignes de siheyuan, des habitations avec une cour carrée intérieure, et ceux-ci se joignent les uns aux autres, formant ainsi les hutong. Chaque ruelle peut comprendre une centaine de maisons, les cours ouvertes sont reliées entre elles par des galeries. En se perdant allégrement dans ces petits dédales pékinois, on peut découvrir des petits moments de la vie à Pékin. Ce labyrinthe de ruelles a conservé une âme véritablement pékinoise. Bien que la bicyclette est un moyen de locomotion idéal pour visiter les Hutong, la marche à pied est très agréable. On peut facilement se perdre dans ce dédale tant nous pouvons être émerveillés par ce côté mystique et traditionnel qui règne dans les Hutong. Dans l’ancien temps, peu de chevaux passaient par les Hutong et les voitures encore moins. Les Hutong formaient une ville immense à eux seuls au puissant gris perle. On pouvait aisément se retrouver dans des résidences de nobles, des écoles, des habitations modestes ou encore les bordels.