Avant de parvenir à la société moderne que nous connaissons tous, le monde était régis par des Divinités et des Calamités qui sont aujourd’hui représentées comme des Dieux et des Démons. Entre ces deux forces titanesques se trouvaient les Hommes, simples
Wei Wuxian ou Sexy Yiling Laozu Mar 20 Juil - 14:26
Wei Wuxian
Que c'est compliqué d'être une Bi icon
âge : 25 ans (dans le corps de Mo Xuanyu
métier : Mannequin/Idol/DJ
groupe : Cultivateur démoniaque
orientation sexuelle : Bi disaster (et fier de l'être)
CARACTERE : Wei Wuxian est un personnage aussi adorable qu’insupportable. Il est très chaleureux et très taquin avec ses amis. Par ailleurs la personne qu’il adore embêter n’est autre que Lan Zhan pour lequel il en pince secrètement. Hein ? Que… Quoi ? Bref… C’est un esprit libre et frivole, adorant jouer.
Dans sa jeunesse, il était très friand de livres pornographiques (pour sa sécurité, je ne dirais pas que c’est Nie Huaisang qui m’en a passé quand on était au Repaire des Nuages). Il est très malicieux, tenant parfois des propos à double-sens. En plus d’adorer taquiner, et flirter volontiers avec Lan Wang Ji, il flirte avec beaucoup de personnes, en plus des femmes. En temps normal, il reste un séducteur séduisant qui aime boire de l’alcool et s’amuser.
Il est très aimant et très doux avec sa famille, surtout Jiang YanLi qu’il aime plus que tout. Il se soucie profondément des personnes qui lui sont chères et ne supporte que du mal leur soit fait. Il est prêt à tout pour protéger ceux qu’il aime, et ceux qui ont le plus besoin de son aide. Il serait prêt à donner sa main dominatrice pour apaiser la fureur du Clan Wen envers son Clan. Il sacrifie aussi l’unique source de sa puissance et de son pouvoir : son Noyau d’Or qu’il donne à son Shidi, Jiang Cheng dont le Noyau a été fondu par Wen Zhuliu. Il endure, pendant deux nuits et un jour, l’opération pour effectuer l’échange. Il était éveillé, pleinement conscient durant l’opération. Il devait voir de ses yeux son propre Noyau être séparé de son corps.
Malgré la légèreté de son tempérament, Wei Wuxian est aussi très impulsif et fait parfois preuve d’une superbe arrogance, pour le plus grand bonheur de nos pauvres mirettes. Ce tempérament se remarque fortement après avoir été jeté dans les Tertres Funéraires où il invente la Cultivation démoniaque. Même si la plupart du temps, il semble qu’il ne possède pas de cerveau sous sa jolie petite tête, c’est totalement faux. Il est très intelligent et inventif. Ses déductions sont souvent justes et fondées, une sorte de Sherlock Holmes mais plus mignon et chinois ! Il invente nombres d’artéfacts pour cultiver. Comme le Sceau du Tigre Stygien ou encore la Boussole du Mal. Durant ses années au Repaire des Nuages, il a émis la théorie de pouvoir utiliser l’énergie du ressentiment au lieu de la supprimer (ce qui m’a valu un bon nombre de jet de parchemins dans la figure ainsi que d’aller recopier les règles du Clan Lan, encore une fois… Mais cette fois, j’étais avec Lan Zhan !)
Bien qu’il soit épris de Lan Wang Ji, Wei Wuxian a un grand sens moral, un sens aigu de la justice. Il ne supporte pas de voir un crime impuni et fera tout son possible pour que le criminel paye. Il est vrai que, parfois, il y met un peu trop du sien… Surtout quand il torture et tue Wen Chao pour le massacre du Clan Jiang, transformant les cultivateurs du Clan Wen comme des marionnettes pour tuer.
Il y a beaucoup de choses qu’il regrette et ne manque pas de les exprimer à voix haute. Il admet volontiers ses fautes. Depuis qu’il est revenu, deux mots sont profondément ancrés dans sa mémoire : « Désolé » et « Merci » et compte bien utilisé ce dernier pour établir une distinction claire entre Lan Wang Ji et lui. Il réussit à voir des nuances dans la psyché des autres, ayant été considéré comme un héros avant de devenir le très redouté Patriarche de Yilling, un paria dangereux.
Depuis sa plus tendre enfance, il a une véritable peur bleue des chiens, s’enfuyant en courant en poussant des cris à la virilité très, très douteuse avant de se cacher derrière Lan Zhan.
PHYSIQUE : (hihi, ma partie préférée)
Wei Wuxian est considéré comme le quatrième plus bel homme de sa génération (non mais je rêve… Qui a fait ce classement que je l’étripe !). Il est grand, mesurant 1.86 dans son corps d’origine. Sa silhouette élancée est divinement fine, assez svelte. Contrairement à son bien aimé Lan, il est moins musclé et plus frêle, plus délicat.
Bien qu’il soit dans le corps de Mo Xuanyu, il a gardé sa belle apparence d’antan, ne demeurait du Mo que son faible Noyau d’Or et la faiblesse de sa nouvelle enveloppe charnelle, déjà qu’il était assez délicat et fin autrefois (*rougit*) Ainsi, son opalin visage était doué d'une angélique beauté envoûtante, pure. Aussi magnifique que maléfique, la féerie suave de ses délicats traits trahissait une âme douce, aimante. Il resplendissait aussi bien dans la Lumière que dans les Ténèbres.
Ses fins sourcils bruns étaient dessinés dans une grande douceur. Ses superbes yeux à la douce forme bridée brillaient d'une ardente teinte mordorée. Son nez semblait avoir été sculpté dans la plus pure, la plus fragile des porcelaines tant il était fin, doué d'une certaine grâce. Quant à ses lèvres, lèvres irrésistibles, tentatrices, ensorcelantes, ainsi colorée d'une puissante nuance de rouge, elles étaient pareilles à un précieux bouton de rose : délicates, hypnotisantes, exquises. L’ombre d’un sublime sourire Autre détail qui prouve à quel point Wei Wuxian porte la douceur sur son visage, il possède le plus magnifique des sourires où l’on remarque clairement ses deux incisives qui saillaient joliment à l’avant, comme celles de ces adorables petites boules de poils que l’on nomme « lapin ». Ces petites dents de lapin le rendant tout simplement adorable, à croquer (LAN ZHAN ! Arrête de me piquer mon ordinateur *boude*)
Un faible grain de beauté, presque imperceptible, venait attirer le regard sur cette séduisante paire de lèvres des plus affriolantes. Ses tendres joues avaient été creusées dans une grande minutie. Ses délicats contours étaient sans cesse effleurer, dans une cruelle et vive caresse, par deux uniques mèches qui encadraient son visage à la féerique beauté maléfique, scandaleuse. Son obsidienne chevelure aux azurés reflets ondulait avec grâce, délice dans son dos. Certaines mèches avaient été ramenées en une haute queue de cheval, maintenue grâce à un simple et précieux ruban de satin d'un puissant rouge carmin.
— Dans ses anciennes vies, il ne jurait que par les hanfus noirs et rouges qui soulignaient divinement ses sensuelles courbes voluptueuses à la délicatesse féminine. Ses androgynes formes divines et fines peuvent facilement tromper les autres hommes.
— Dans le monde moderne, Wei Wuxian a les cheveux coupés assez court pour découvrir sa douce nuque et assez long pour pouvoir les attacher en chignon. Il porte des vestes en cuir d’un puissant noir et porte des habits qui se trouvent très près de son corps divin, comme des jeans noirs qui soulignent ses jolies formes graciles et sensuelles ou encore des pulls qui moulent son torse musclé.
Histoire « Accomplir l’impossible » voilà ce qui résume parfaitement la vie trèèèèèès complexe de Wei Wuxian. Né le 31 octobre, on aurait dut se douter qu’il était un véritable petit démon ! Il est le fils de Wei Changze et de Cangse Sanren, une des disciples de Baoshan Sanren. Ayant perdu ses parents très jeune, il n’a que très peu de souvenirs d’eux. Un seul lui reste encore en mémoire.
AVANT LA CHUTE
Avant de devenir le redouté Patriarche de Yilling, Wei Wuxian vivait au Clan Jiang. Il a été adopté par le Chef du Clan Jiang à l’âge de cinq ans quand ses parents sont décédés lors d’une chasse nocturne. Pendant une majeure partie de son enfance, il a vécu dans la rue et se battait presque avec des chiens pour survivre. Il a développé une grande phobie envers les canidés. Si bien qu’en arrivant au Clan Jiang, sa peur panique des chiens a forcé son futur Shidi, Jiang Cheng, à se débarrasser de ses propres chiens. Furieux, Jiang Cheng l’a menacé d’appeler les chiens pour se débarrasser de lui. Apeuré, Wei Wuxian s’enfuit et va se cacher. Il est rejoint plus tard par Jiang YanLi, sa ShiJie, qui va le réconforter, le soigner comme il s’est blessé en tombant de l’arbre (je vous défends de dire que je suis un princesse !) et elle va même le raccompagner à la Jetée des Lotus. En chemin, ils tombent tous deux sur Jiang Cheng qui était parti à la recherche de son Shixiong. Tous les trois, ils rentrent à la Jetée des Lotus en pleine nuit. Arrivés dans leur chambre, les deux garçons se promettent d’être toujours là l’un pour l’autre.
Puis arrive l’adolescence… Wei Wuxian a bien grandi, embellissant divinement au cours des années. C’est un jeune cultivateur très doué à l’escrime. Son esprit vif et ses capacités impressionnantes en magie, en cultivation font des envieux tandis que son visage charme chaque fille qu’il croise. C’est un séducteur frivole et oisif, ne pensant qu’à s’amuser et à boire de l’alcool. Sous ce joli masque, sous ce charmant sourire, Wei Wuxian peut aussi se montrer arrogant. Comme lorsqu’il affronte, verbalement, Jin Zixuan alors que celui-ci les chasse de l’auberge où ils comptaient séjourner le temps d’aller au Repaire des Nuages.
AU CLAN LAN DE GUSU
Le Clan Jiang se prépare donc à se rendre au Repaire des Nuages. Ils ne se rendent compte qu’à l’entrée qu’ils ont oublié l’invitation pour entrer. Alors qu’un disciple s’apprêtait à encore prononcer le même refrain, une présence noble se fait sentir. Wei Wuxian reste sous le choc en contemplant un homme, sûrement un membre imminent du Clan Lan, passer devant eux. Il est ensuite informé qu’il s’agit de Lan Wang Ji, un des Jumeaux de Jade de Gusu. Wei Ying, en tant que séduisant séducteur frivole, se dit qu’en usant de ses charmes irrésistibles, le Lan les ferait entrer. Malheureusement, il semble que le Lan soit une personne rigide et fortement ennuyeuse puisqu’il refuse de les faire entrer et jette même un sort de silence qui fait taire le doux Wei.
Wei Ying, ayant enfin l’invitation nécessaire pour entrer dans le Repaire des Nuages, arrive. Il ne voit plus son Clan, ni son frère ni sa ShiJie. Il décide donc d’entrer dans l’enceinte du Repaire des Nuages. Il enfreint, sous le savoir, une première règle des 3000 règles qui régissent le Clan : il désactive la barrière de protection et pénètre dans le Repaire des Nuages, portant sur son épaule, deux jarres du Sourire de l’Empereur. Alors qu’il escalade les murs, il se fait soudainement attraper par Lan Wang Ji avec lequel il se bat jusqu’à ce qu’une jarre du Sourire de l’Empereur ne se brise au sol à cause de Lan Wang Ji. Celui-ci lui montre les règles du Clan Lan et lui demande de compter combien de règles il a enfreint en une soirée. Wei Ying s’envole jusqu’au toit et en profite pour narguer le Lan, se montrant toujours scandaleusement adorable et superbe. Il ne peut prendre qu’une gorgée d’alcool avant de se faire taire par Lan Wang Ji qui l’emmène devant le Maître Lan, Lan Qiren, et devant le Chef du Clan Lan, Lan XiChen. Wei Wuxian s’énerve fortement quand Lan Wang Ji raconte les faits, se débattant comme un beau diable afin de dire sa version des faits. Une fois qu’il n’est plus sous l’influence du Sort du Silence, Wei Wuxian commence à parler fort, reprenant ses mauvaises habitudes. Finalement, il doit copier les 3000 règles du Clan Lan pour un bon nombre de fois.
Les cours au Clan Lan se sont bien passés… Juste un Abysse Hydrique qui a quelque peu rapproché les deux hommes aussi beaux que différents ainsi qu’une soirée un peu arrosée qui a permit à Wei Wuxian de mieux cerner Lan Wang Ji. Si au début, il le méprisait un peu, lui qui ne montrait qu’un masque indifférent à son encontre, il finit par le respecter, le considérant même comme un égal. Même s’il regrette de ne pas avoir put jeter un œil au livre pornographique que Nie Huaisang lui a prêté pour taquiner Lan Wang Ji lors de sa punition à ses côtés. Tout ça parce que Lan Qiren ne l’aimait pas et que ses idées d’utiliser l’énergie du ressentiment étaient mauvaises et hérétiques… Pfff.
A la fin des cours, une fois diplômés, les disciples peuvent rentrer chez eux. Mais Wei Ying préfère suivre Lan Zhan dans sa quête du Métal Yin, une quête qu’ils s’étaient jurés de faire à deux dans la grotte glacée dans laquelle ils s’étaient retrouvés quand ils étaient tous deux à la Source Froide pour « soigner leurs blessures », récompenses de leur nuit alcoolisée.
LA CHASSE AU LAN ZH… AU FER YIN
Wei Wuxian accompagne donc Lan Zhan jusqu’à tomber sur Nie Huaisang. Au fil de la journée, ils sont suivis par un hibou contrôlé par Wen Chao, ce dernier s’étant présenté au Clan Lan pour accompagner deux cultivateurs du Clan Wen, Wen Qing et Wen Ning. Wei Ying est de plus en plus fasciné par Lan Zhan, continuant de le taquiner en permanence. Surtout lors de leur combat avec la Déesse Dansante. Là, arrive Jiang Cheng qui commence déjà à sermonner Wei Ying parce qu’il est parti sans un au revoir.
Après avoir tué le maudit oiseau que Wen Chao contrôlait, avec cette même superbe et cette divine arrogance, et avoir reçu quelques informations de Wen Qing, les cultivateurs partent en direction de Yueyang. Là-bas, ils rencontrent un jeune délinquant du nom de Xue Yang. Celui-ci est responsable du massacre du Clan Yang. Après avoir arrêté le jeune homme, Wei Ying décide de le fouiller, cherchant le morceau du Métal Yin. Il laisse donc glisser ses mains sur le corps fin du jeune homme qui semble réellement apprécier les fines mains délicates du beau cultivateur, lui aussi vêtu de noir, sur ses formes. Il ne trouve finalement rien et se doute que le jeune délinquant a caché le morceau du Métal Yin autre part. Finalement, Xue Yang est conduit à Qinghe où ils apprennent que le Clan Wen demande aux grands Clans d’envoyer les disciples directs à Qishan (Tout ça parce que Wen Chao est tombé sous mon charme irrésistible, pfff). Même si Xue Yang mérite un châtiment, la mort ne semble pas être la bonne décision pour Wei Wuxian qui plaide presque en sa faveur. (Oui, je n’ai pas d’excuse là… C’est pas pareil avec Lan Zhan !) En parlant du Jade, celui-ci s’en va durant la nuit, laissant un bel endormi sur le toit de sa chambre, l’esprit enivré par l’alcool. Le lendemain malheureusement, le bel endormi se réveille et va dans sa chambre, rencontrant Jiang Cheng qui lui informe que le Clan Wen est là pour récupérer Xue Yang. Celui-ci semble s’être échappé. Peu de temps après, Meng Yao, le bras-droit de Nie Mingjue et le fils illégitime de Jin Guangshan, est renvoyé du Clan Nie à cause du meurtre d’un des membres de son Clan.
Finalement, après ça, les deux membres du Clan Jiang rentrent à Yunmeng pour une brève durée, juste le temps pour Wei Ying d’entendre Madame Yu s’énerver contre son mari et contre son fils. Une dame charmante…
A QISHAN Les deux membres du Clan Jiang sont à Qishan pour recevoir l’enseignement des Wen(si on peut appeler ça comme ça). Là-bas, ils retombent sur Nie Huaisang. « Parler du Diable, il montre sa queue » semble être une citation qui catégorise Lan Zhan puisqu’à peine Wei Ying se demande où il est que le Jade apparaît soudainement, marchant en direction du beau cultivateur habillé de noir et de rouge. Les deux « amis » sont l’un à côté de l’autre. Wei Ying est inquiet de voir un Lan Zhan blessé à Qishan. Wei Ying essaye à plusieurs reprises de parler au Lan mais Jiang Cheng l’en empêche plusieurs fois, afin de lui éviter des problèmes avec Wen Chao. Celui-ci, fidèle à lui-même en étant un vrai crétin arrogant, confisque les épées des cultivateurs venus pour l’endoctrinement. Jiang Cheng ne veut pas se séparer de Sandu, mais Wei Ying remet, sans plus de cérémonie, Suibian aux Wen. Bien que cela lui brise un peu le cœur de devoir se séparer de sa fidèle épée. Ensuite, les cultivateurs Wen, sûrement des soldats, leur remettent les règles, les lignes de conduite du Clan Wen qu’ils devront réciter chaque matin et chaque soir devant Wen Chao afin d’examiner leur apprentissage et autres inepties.
Le lendemain, après, avoir lu les règles du Clan Wen, seules règles qu’il a lu de son plein gré et qu’il n’a pas dut copier au moins trois cent fois en compagnie de Wen Chao, pour son plus grand bonheur, Wei Ying ainsi que son cher Lan Zhan, Jiang Cheng et Jin Zixuan sont interrogés par Wen Chao. Oui, il a vraiment prit ceux qui n’auraient pas lu les règles, trop fiers pour le faire. Lan Zhan dit ne pas pouvoir les lire, ce qui entraîne les moqueries de Wen Chao. Jin Zixuan répond la même chose et lorsque le Wen risque de s’énerver davantage, Wei Ying l’informe, avec un grand sourire aux lèvres qu’il le fera. Il reste néanmoins dégoûté en sachant ce qui l’attend si il récite mal les règles de ce maudit Clan Wen.
Wei Ying commence donc par « s’échauffer » (Bah oui raconter des conneries ça demande de s’échauffer un minimum). Donc, il laisse son corps aux séduisantes courbes sensuelles se pencher dangereusement sur la droite, sur la gauche avant de faire tourner ses belles hanches voluptueuses, ses magnifiques mains se trouvant derrière sa tête. Il aurait pu continuer si ce crapaud de Wen ne l’avait pas stoppé en plein élan. Il voulait absolument entendre les règles du Clan Wen dans la belle bouche de l’irrésistible Wei apparemment. Quel dommage qu’il ne connaisse que les règles du Clan Lan sur le bout des doigts. Esquissant un magnifique sourire, Wei Wuxian se mit donc à réciter ce qu’il avait appris au Clan Lan. Tous étaient admiratifs devant une telle audace (« Moi j’étais surtout admiratif de son corps parfait en train de bouger devant moi. Quel cul… Quelles hanches ! » LAN WANG JI ! Arrête ça !)
Seule une personne ne semblait pas adhérer à cette petite plaisanterie. Lan Zhan… Que Wen Chao ne soit pas heureux d’entendre les règles du Clan Lan, c’était normal mais lui ? Bref. Après que Nie Huaisang ait murmuré que son ami était bien téméraire de faire une telle chose (« Téméraire ? Suicidaire oui ! »Mais Lan Zhan !) Wen Chao comprit enfin le petit ménage du beau Wei aux belles hanches (Bon ça suffit là Lan Wang Ji…) celui-ci s’énerva contre lui, lui demandant s’il voulait mourir.
Fidèle à lui-même, Wei Ying feignit l’ignorance, se montrant adorable, craquant en faisait croire qu’il s’était trompé. Tout ce petit manège pour être seul avec celui qu’il considérait comme son égal dans cette vie. Ainsi, Wen Chao lui donna comme punition d’aller au potager. Bien sûr il s’attendait pas à ce que Jin Zixuan les rejoigne, lui qui voulait être seul avec Lan Zhan, et bien c’était raté. Surtout qu’ils devaient ramasser du purin en compagnie de l’autre Paon Fleuri. Le Lan faisait sérieusement son travail même s’il semblait peiné et furieux d’effectuer une telle corvée.
Wei Ying cherchait désespérément l’attention de son égal, lui demandant sans cesse des informations sur le Métal Yin ou sur son Clan dont les rumeurs disaient qu’il avait été décimé. Son regard triste, bien que figé dans une splendide glace, lui fit peur, autant que son manque de réponse. Il commençait à s’inquiéter pour son aimé alors, en toute amitié, il osa essayer de poser une main affectueuse sur l’épaule de Lan Wang Ji mais il reçut, en réponse à son acte, la caresse vive, cruelle et brusque d’un fouet sur sa délicate et magnifique main, ce qui le fit lâcher son panier. Ah bah bravo ! Ce n’était pas Wen Chao qui allait devoir laver ses vêtements ou nettoyer le beau visage de Wei Ying salit par ses conneries ! (« Hmm ? *sort Bichen* » Ohlala, si on peut même plus rire…) Après ça, Wen Chao demanda à Wei Ying ce dont Lan Zhan et lui étaient en train de discuter. Déjà, pour pouvoir avoir une discussion, il fallait que l’autre réponde et Lan Zhan était l’exemple de la discussion silencieuse. Prenant un air superbement arrogant, Wei Ying s’approcha de Wen Chao et commença alors à inventer un dialogue entre le Lan et lui. Comme par exemple, que l’odeur du potager lui rappelait quelqu’un. Wei Ying avait rajouté que lorsque le Deuxième Jeune Maître Wen s’était approché, il avait de suite reconnu le parfum, répliquant que cette odeur devait venir de lui. Outré par l’audace dont le beau Wei faisait preuve, le Wen voulut lui donner un coup de feu en guise de punition. Heureusement, Wei Ying était aussi rapide, aussi vif qu’un félin (ou qu’un lapin hihi ! Pas vrai Lan Zhan ?) et attrapa de justesse la corde du fouet. Commençant à en avoir ras le bol de porter ce bandeau sur son délicat et adorable museau (ok, ok, mon délicat et adorable nez… Rohlala Lan Zhan), il enlève donc, l’arrogance lui seyant à merveille. Même si cela risque de lui coûter cher. Comme plusieurs coups de fouet ou la douleur de voir Lan Zhan se faire fouetter pour le protéger. Ce geste, aussi héroïque soit-il, avait tout de même permis à Wei Ying de retrouver la terre ferme, il avait été suspendu dans les airs plutôt pour avoir manifester de l’audace et de l’arrogance à l’encontre du Wen, sûrement jaloux du charme méprisant dont faisait preuve le beau Wei. Il avait appris, avec horreur, que Lan Zhan avait cédé le Métal Yin aux Wen. Il était sûr que ça avait un rapport avec la visite de Wen Xu au Recoin des Nuages. Il n’en voulait pas à Lan Zhan, il aurait fait la même chose pour sauver le Clan Jiang si celui-ci était en danger.
Mais, pour une raison étrange, ce Wen pensait qu’il avait dérobé le Métal Yin de Xue Yang ou que Xue Yang et lui étaient alliés. Même si ce délinquant semblait avoir pris beaucoup de plaisir à ce que Wei Ying fouille son corps, jamais le Wei ne se serait allié à un tel personnage. Cependant, le Wen semblait convaincu que Wei Ying avait le Métal Yin. Pour plaisanter, il lui aurait bien dit de le fouiller mais la seule idée de sentir les sales pattes de ce Wen sur ses jolies courbes sensuelles le rebutait au plus haut point. Wen Chao ordonna à ce qu’on le capture et jette en prison. Lan Zhan s’était interposé, mal assuré sur sa jambe sensible. Le Wen faisait face au Deuxième Jade, lui assurant que le cachot des Wen était très grand. Ne pouvant supporter d’envoyer son égal en prison à cause de lui, Wei Ying se relève, bien qu’ayant mal là où le fouet a tapé. Il lui adresse son plus doux sourire et lui assure qu’il ira bien, abaissant le bras protecteur que Lan Zhan avait levé, l’infinie manche blanche de son hanfu neigeux le dissimulant, lui et son joli minois angélique. Wei Ying se fait capturer et emmener en prison.
La nuit en prison ne fut pas de tout repos… Comment est-ce que ce maudit Wen avait su pour sa phobie des chiens ? Il s’était intéressé à lui ? (Comment lui en vouloir… Je suis parfait !) Il était ressorti de cette cage avec des blessures, de « précieuses marques de guerre » et était affamé après avoir passé une nuit sans nourriture alors que son corps, lui, avait semblé être une friandise exquise pour cette Créature des Enfers qui aurait faire pire que seulement le blesser si Wen Ning n’était pas venu le sauver des griffes, et des crocs, de ce gros chien. En faisant allusion à la nourriture, et en demandant à Nie Huaisang, s’il n’avait pas à manger, celui-ci répliqua qu’ils n’étaient pas à Gusu. Ces mots eurent un effet sur Wei Ying et Lan Zhan. Celui-ci semblait abattu, profondément triste et en colère. Wei Ying allait devoir se contenter de garder un ventre vide. Mais ça, c’était avant que Jiang Cheng ne lui donne quelque chose à manger, afin qu’il vive encore un peu.
Finalement, les cultivateurs endoctrinés doivent se rendre à une chasse, sous l’ordre de Wen Chao. Une chasse, sans épée ? Ils étaient devenus de la chair à canon en l’espace de deux jours. Et même si Wei Ying était vraiment un canon, il n’était pas prêt à ce qu’on se serve de son corps comme appât. A part ça, ce qui l’inquiétait était l’état de la jambe du Lan. Il n’avait fait que boiter durant le trajet. S’il continuait ainsi, il risquait de rester ainsi et de ne plus remarcher correctement. Finalement, réciter les règles du Clan Wen était peut-être plus agréable que de contempler son égal se faire souffrir inutilement. Lan Zhan était toujours derrière eux, à boiter. Wei Ying ne comptait plus les doux regards peinés qu’il lançait au Lan. Il aurait aussi pensé que l’idée qu’il le porte lui aurait fait plaisir mais Lan Zhan avait semblé prendre ça comme un affront qu’une personne extérieure à son prestigieux Clan Lan le porte. Hé ! Même s’il semblait l’être, il n’était ni délicat, ni fragile ! Qu’est-ce que ce Lan pouvait être buté quand il le voulait. Alors, Wei Ying avait demandé à Wen Qing d’aider Lan Zhan en lui permettant de se reposer un peu en faisant une halte. La docteure Wen avait semblé prendre à cœur la demande de Wei Ying puisque celle-ci avait demandé à ce que tous prennent une pause afin de boire un peu. Wei Ying avait remercié la Wen en lui adressant un de ses beaux sourires tendres.
A force de recherche, et surtout parce que la concubine de ce crapaud de Wen Chao commençait à lui courir, Wei Ying avait fini par trouver la grotte où le soi-disant monstre vivait (Wen Chao, fallait le dire si tu voulais passer plus de temps avec moi *délicieux sourire malicieux*)
DANS LA GROTTE
Il n’y a rien de spécial à raconter. Juste une petite altercation entre les Wen et les autres cultivateurs. Une altercation causée par Wen Chao parce que celui-ci était vraiment trop bête pour se rappeler des règles de son propre clan que Wei Ying s’était fait un plaisir de lui rappeler avec cette arrogance superbe. En prime, pour sauver la jeune Mianmian qui n’avait rien demandé à personne, il reçut la marque du tisonnier de la concubine de Wen Chao en pleine poitrine, y laissant ainsi une bien douloureuse marque sur ce délicieux pectoral. Après ça, un monstre légendaire que Wei Ying avait prit pour un îlot a commencé à attaquer les cultivateurs qui l’avait réveillé de son sommeil profond. Le beau Wei fit alors diversion pour que Jiang Cheng puisse trouver une sortie, les Wen s’étaient échappés et avaient même bloqué la sortie principale. Heureusement que Lan Zhan était là et qu’il les avait prévenu pour la possible sortie de la grotte (tout ça grâce à une feuille d’érable ? Mon chéri est trop fort !). Malheureusement, durant le combat/diversion, la créature a failli tuer Wei Ying mais Lan Zhan l’a secouru à temps, se blessant encore plus par la même occasion. Jiang Cheng semblait s’en vouloir de ne pas aider son Shixiong mais celui-ci avait d’autres chats à fouetter. Il lui a juste dit de venir le chercher plus tard. Les voilà enfin seuls Lan Zhan et lui... Mh... Qu’est-ce que deux beaux cultivateurs tels que le Second Jade de Gusu et lui pouvaient bien faire tout seuls dans cette grotte ? (« Tu oublies la tortue Wei Ying *est rouge* »OH MAIS LAN ZHAN ! Laisse-moi m’amuser !)
Remarquant que son partenaire de cultivation était blessé et ne pouvait, ou ne voulait pas, vomir du sang Wei Ying décida de le faire recracher le sang coagulé. Sachant combien le Lan était pudique et, qu’il abhorrait la vision de son plaisant corps nu, Wei Ying se déshabilla, enlevant d’abord sa tunique extérieure avec vivacité, ne restant ainsi qu’en tunique intérieure qui soulignait délicieusement ses sensuelles formes voluptueuses. Le beau Wei, ainsi vulnérable, se rua sur Lan Zhan pour le déshabiller aussi. Mais celui-ci était assez grincheux à cause de son ruban frontal que Wei Ying lui avait « volé » afin de faire un garrot à sa jambe grièvement blessé. Ainsi, Lan Zhan n’était pas très ouvert à ce que le beau Wei se déshabille devant lui. Lan Zhan le repoussa et Wei Ying entreprit d’abaisser son bas, s’apprêtant à lui dévoiler ses longues et merveilleuses jambes nues. Heureusement, Lan Zhan vomit à temps et Wei Ying donna un coup dans sa poitrine pour le guérir.
Ainsi, le Wei essaya de soigner le Lan qui grimaçait à chaque fois qu’il osait poser ses doigts de fées sur sa blessure. Après ça, Wei Ying lui disait d’endurer la douleur. Surtout qu’il n’avait que les algues coagulantes que Wen Ning lui avait donné quand lui-même en avait eu besoin un peu plus tôt lorsqu’il avait été blessé par le chien de Wen Chao, le reste des médicaments avait été égaré lors de la bataille. Lan Zhan ne supportait pas la douleur et envoya un lourd regard au beau Wei qui s’inquiétait de l’état de santé de son partenaire de cultivation. En lui disant d’endurer encore un peu la douleur, Wei Ying sentit une immense douleur là où il avait été blessé tantôt par le tisonnier. La chaleur avait ainsi troué le tissu fin et délicat de son hanfu et de sa tunique rouge. Il râla contre le Lan qui lui répondit par une moquerie qui fit rire le beau Wei. Le Lan semblait inquiet pour lui, l’implorant presque de ne plus agir aussi impulsivement la prochaine fois, même si le magnifique Indompté était habitué à de telles blessures. Ils parlèrent alors de la raison qui l’avait poussé à sauver MianMian, disant qu’en sauvant une jeune demoiselle en détresse, celle-ci se rappellerait de lui. Surtout qu’elle était jolie et qu’avoir une telle marque sur le visage… Bref. Il disait qu’il valait mieux que ça soit un homme qui porte une marque, qu’un homme devait avoir des cicatrices et se battre. (« Encore heureux que le tisonnier n’ait pas touché ton doux minois Wei Ying. Sinon… »Aiya Lan Zhan ! Arrête un peu ! Ce n’est que mon torse qui est blessé !) Lan Zhan sembla furieux à cette réponse. Que cette marque resterait sur son corps pour le reste de sa vie (Ouais… A ce propos euh…) Lan Zhan lui demanda alors comment il pouvait savoir que MianMian se souviendra de lui après tout ce temps. Il semblait vraiment furieux, ce qui interrogea le beau Wei. Lan Zhan lui avait alors dit de ne pas séduire ainsi si ses intentions n’étaient pas sérieuses. Quelque peu boudeur, Wei Ying avait marmonné que ce n’était pas lui qu’il séduisait de toute façon. La malice lui allant à ravir, comme l’arrogance ou la tristesse, Wei Ying s’amusa avec le Lan, lui disant qu’il savait pourquoi il était si tendu en ce qui concernait MianMian. Il le taquina en lui disant qu’il voyait qu’il aimait la demoiselle (« Mais espèce d’abruti aussi irrésistible qu’imbécile ! »Mais pourquoi tu t’énerves Lan Zhan ?« Pourquoi ? POURQUOI ? »)
A cette affirmation, le Lan jeta un regard au beau Wei. Un regard lourd plein de questionnement. Wei Ying le fixa à son tour de ses doux yeux de biche à l’ambre sombre, attendant une réponse alors que ses suaves lèvres exquises restaient fendues. Le regard du Lan se fit plus pénétrant, cherchant à savoir s’il était sérieux. Remarquant cela, Wei Ying demanda sincèrement si Lan Zhan aimait MianMian. Le regard qui lui lança Lan Zhan fit apparaître un magnifique aux lèvres exquises du Wei qui riait, franchement amusé. Ainsi, ce magnifique sourire dévoilait avec superbe ses adorables dents de lapin qui ne le rendait que plus mignon et craquant encore (Héhé Lan Zhan ! Rends-moi mon ordinateur ! Arrête d’écrire des bêtises !). Wei Ying lui donna un petit coup de coude dans le bras avant de commencer à sécher sa tunique extérieure noire trempée, avec ce même sublime et large sourire aux lèvres. Lan Zhan semblait exaspéré, se demandant pourquoi il devait parler de ces choses sans queue ni tête avec lui. (Peut-être parce que sans moi, tu mourrais d’ennui mon cher Lan *lui envoie un baiser volant et lui fait un doux clin d’œil sensuel*)
Wei Ying le taquina encore plus en lui disant que c’était la première fois qu’il lui parlait aussi longtemps. Lan Zhan avait pourtant sombré dans un sommeil profond, ainsi il était 21 heures.
Alors que le Lan s’était endormi, Wei Ying avait décidé de lui remettre son bandeau frontal. Avec une infinie douceur, le beau Wei lui avait enlevé le ruban de sa blessure et avait rabattu le bas de son hanfu sur sa jambe, à présent guérie. Il s’était mis face à lui et, du bout de ses délicats doigts, aussi magnifiques et prudents que ceux d’une fée, il lui remit le bandeau, le nouant avec précaution. Wei Ying esquissa un doux, superbe sourire en le contemplant, la vive lumière orangée avait créé un sublime jeu de lumière sur le visage, à la splendeur glaciale, du Lan.
Chassant l’idée de l’embrasser, alors que lui ne portait qu’une fine, mais superbe, tunique intérieure sur son corps svelte et élancé, aux voluptueuses courbes sensuelles, il soupira et entreprit de reprendre sa tunique supérieure afin de la faire sécher au coin du feu. Il tenait la tunique sombre avec délicatesse, ses doux yeux de biche à l’éclat sombre de noisette contemplant le feu vif.
Il réfléchit alors à cette créature, se demandant bien ce qu’elle était. Oh et puis, une petite baignade ne lui fera pas de mal ! Il alla donc se baigner, gardant sur son fin corps aux androgynes formes voluptueuses et sensuelles sa tunique rouge. Il ne voulait pas que Lan Zhan fasse une crise cardiaque s’il voyait que sa tunique, et fantasme sur sa divine et svelte enveloppe charnelle qui faisait bien des jaloux - et des jalouses. Sa blessure ne l’empêcha pas d’aller nager. Bien au contraire !
Ainsi, il découvrit que la créature qui les avait attaqués était une tortue géante qui avait la gueule d’un serpent. Il en conclut assez vite qu’il s’agissait d’un monstre vieux de quelques millénaires. Il sortit alors de l’eau assez sale de la grotte. Sa longue et soyeuse chevelure d’ébène, autrefois souple et aérienne, presque légère, était devenue lourde, l’eau glaciale étant un terrible poids pour ses infinies mèches sombres. Sa tunique rouge était, elle aussi, bien trempée. Ainsi, le superbe tissu rubis moulait avec délice ses sensuelles courbes voluptueuses. Avec prudence, dans une féline démarche, il retourna au coin du feu et entreprit de sécher ses vêtements. Les cruelles gouttes d’eau avaient été estompées par la chaleur douce et agréable que dégageait le feu orangé, ainsi son beau visage n’était plus ruisselant d’eau.
Il tenait, du bout de ses délicats doigts, le tissu fin de sa tunique intérieure devant les vives flammes, attendant patiemment qu’une splendide paire d’yeux bruns s’ouvrent enfin. Pendant ce qu’il lui semblait être des heures, le beau Wei faisait sécher ses vêtements. Du coin de ses doux yeux de biche, il contempla alors Lan Zhan se réveiller. Il lui prêta un tendre regard lorsqu’il le vit effleurer son ruban frontal. Dans une infime et suave affection, Wei Ying informa Lan Zhan qu’il lui avait remis son bandeau afin d’éviter qu’il ne lui fasse une crise. Même s’il s’attendait à ce que Lan Zhan le sermonne pour avoir touché son bandeau, il fut agréablement surpris en le contemplant être d’un étrange calme. Un seul « Mn » franchit le pli délicat des lèvres masculines et charnues de Lan Zhan quand il laissa son bras fort retomber, dans une certaine majesté, le long de son corps.
Wei Ying rejoignit le Lan et lui expliqua ce qu’il avait découvert sur la créature qui les retenait prisonniers dans cette fiche grotte. Ainsi, il l’informa qu’il avait été allé nager, ce qui suscita l’inquiétude du plus âgé qu’il le sermonna presque pour cela. Wei Ying lui assura que même blessé, il allait tout de même nager, ces blessure étaient ses précieuses marques de guerre.
Le duo discuta alors de l’identité de la tortue qui, selon la description qu’en avait fait le beau Wei, pourrait être la tortue du Carnage. Pour détendre l’atmosphère, Wei Ying plaisanta quelque peu en disant que même s’ils mourraient tous les deux en combattant cette bête, ils se seraient battus contre un monstre vieux d’un milliers d’années et qu’ils seraient morts avec honneur. Bien sûr, le Wei ne voulait pas mourir, souhaitant encore profiter des joies de la vie et faire profiter de ses talents et de ses charmes féériques au monde de la cultivation. Les deux hommes imaginèrent un plan. Une fois sèche, Wei Ying remit, dans une vive grâce, sa sombre tunique sombre sur son corps fin et divin, se rhabillant ainsi. Lan Zhan et lui allèrent récupérer les flèches égarées, et arcs, des archers Wen, qui n’avaient pas été doués des talents uniques dont Wei Ying, lui, avait été doté et ce depuis sa naissance (Intelligent, terriblement beau, excellant à l’arc et au maniement de l’épée, je suis parfait !)
Après cela et dans un calme déconcertant, les deux cultivateurs travaillèrent sur leur plan. Lan Zhan enleva la corde de chaque arcs quand Wei Hing s’occupa de lier les flèches entre elles grâce aux cordes restantes. Lan Zhan recréa la Corde Assassine de son Clan Lan, expliquant au beau Wei qu’un guqin possède sept cordes et qu’elles peuvent être regroupées en une corde. Tranchante, elle pourrait convenir à couper la tête de cette bête. Il valait mieux l’attaquer de l’intérieur mais quand Lan Zhan se proposa, le beau Wei déclina de suite. Avec sa blessure, les effets de la Corde Assassine seraient grandement diminués, tout comme le fait qu’il se retrouverait dans un endroit clos. Wei Ying se proposa alors pour attaquer la bête de l’intérieur. Le Lan accepta et les lia tous les deux par la pensée afin qu’ils puissent communiquer.
Wei Ying pénétra sous la carapace de la tortue et se sentit de suite très mal. Le dégoût seyant joliment à son minois, il continuait sa route jusqu’à découvrir des personnes, dépourvues de vie et de conscience spirituelle. Il en informa de suite Lan Zhan, disant que si c’était lui qui était venu à sa place, il se serait sans doute évanoui à cause de l’odeur. Tandis qu’il continua sa recherche, ses fermes fesses rondes, ces exquises pêches juteuses, touchaient quelque chose de dur et de métallique. Dans une prudence infinie, le beau Wei se retourna et découvrit une épée. Une épée qui semblait normale. À peine ses délicats doigts en enroulèrent le pommeau qu’une importante et vive douleur naquit dans sa tête. Son doux minois se tordant divinement de douleur et de souffrance, il avait l’impression qu’une femme hurlait dans ses oreilles fines. C’était un cri déchirant. Le beau Wei avait de plus en plus l’impression de sombrer à cause de ces cris.
Sa soyeuse chevelure ébène volant doucement au gré du vent furieux que dégageait l’épée, Wei Ying enleva sa main du pommeau, encore sous le choc. L’énergie hostile était suffocante… Il pensa alors que c’était cette épée qui retenait la tortue prisonnière dans cette grotte. Et parler du diable, il montre sa queue n’était pas qu’une expression. Alors que les cris ne cessaient de bourdonner avec violence aux oreilles du beau Wei, il vit alors la tête monstrueuse de Xuanwu. Sans se soucier davantage de l’effet que pourrait avoir cette épée sur lui, Wei Ying la prit en main dans un geste aussi vif que majestueux, comme si l’épée l’avait choisie… Il commença alors à se battre avec la tortue. Un mince mais superbe sourire satisfait prit possession de ses séduisants traits quand il réussit à chasser la bête. Mais pas pour longtemps puisqu’elle revient à la charge. Il planta la lame de l’épée pleine d’énergie hostile sous la mâchoire de XuanWu, ce qui lui déplu fortement puisque la créature sortit sa tête de sous sa carapace, faisant ainsi sortir Wei Ying. En remarquant Lan Zhan, Wei Ying hurla son nom, la peur marquant ses beaux et délicats traits laiteux.
La créature ne cessait de bouger afin de déloger l’épée. Wei Ying était bougé dans tous les sens. Il se sentait de plus en plus mal à force de tenir cette épée. Son teint, déjà aussi blanc que la neige, devint de plus en plus blafard, rehaussant ainsi le rouge vif de ses suaves lèvres exquises pareilles à de magnifiques roses. Il n’arrivait plus à garder ses doux yeux de biche ouverts, il sombrait de plus en plus face à cette douleur lancinante. La peur prenant joliment possession de ses beaux traits, il criait à s’en déchirer l’âme alors qu’il était encore suspendu dans les airs, attendant presqu’un prince charmant à l’hanfu blanc vienne sauver ses charmes de princesse de Chine (HÉ LAN WANGJI ! Je ne suis pas une princesse !) La Corde Assassine vint s’enrouler autour du long cou écailleux de la créature et le serra avec force. Le beau Wei était réellement au plus mal. Il essayait de tenir, de ne pas s’évanouir mais être dans une telle position ne l’aidait pas. Il se sentait vulnérable. Ses tendres joues sublimemement creusées semblaient avoir gonflées superbement sous le coup. Mal… Terriblement mal… Ses séduisants traits se tordaient encore plus sous la douleur. Il se demandait combien de temps il devra rester ainsi. Du mieux qu’il pouvait, il s’accrocha à l’épée, et à la vie.
Mais les cris… Les cris étaient revenus et eurent raison de lui. Ses doux yeux de biche s’écarquillèrent avec délicatesse, ses fins sourcils bruns se froncèrent dans une jolie furie. Il essayait de résister à cet appel du mieux qu’il le pouvait, son minois angélique bougeant quelque peu comme pour y échapper.
Cependant, à force de tenir cette épée aussi longtemps dans la paume fine de ses mains délicates, du sang commença à couler, roulant dans un cruel plaisir sur le pommeau de l’épée, ce qui activa l’épée. Une intense fumée noire sortit de l’épée, commençant à envelopper, avec délice, le divin et élancé corps svelte de Wei Ying. Son féerique visage se voyait d’autant plus superbement tordu par la douleur. Tant bien que mal, il essayait de se sortir les voix de sa tête, son minois bougeant encore plus. « Wei Ying » avait crié Lan Zhan comme pour le ramener à la raison. Deux fois. Deux fois le Lan avait crié son nom. Mais ce ne fut pas suffisant. Wei Ying s’évanouit. Ses doux yeux de biche s’étaient refermés, il paraissait paisiblement endormi, malgré le sang qui roulait dans une cruelle caresse sur sa peau opaline. Il essayait de se concentrer d’autant plus. Une fois, deux fois.
Mais il ne put résister longtemps. Son minois doux bougeant une ultime fois avec ses yeux de biche encore clos, l’énergie hostile eut raison de lui. Ainsi, lorsqu’il ouvrit ses belles mirettes noisette au séduisant regard, un mince mais superbe sourire malicieux esquissa ses suaves lèvres exquises pareilles à une magnifique rose. Sa soyeuse chevelure d’obsidienne aux sombres reflets volait avec grâce au gré de la faible brise que dégageait l’énergie hostile. Ses fins sourcils bruns restaient joliment, légèrement froncés quand cet air maléfique, démoniaque prit de plus en plus possession de son angélique minois.
Aussi magnifique que maléfique, il ne semblait rester du beau Wei que sa séduisante enveloppe charnelle. Il avait l’air d’être quelqu’un d’autre. Le vrai Wei Ying se sentait piégé dans son propre corps qui semblait être contrôlé par l’énergie hostile et non par lui. Ainsi, il voyait son corps, son divin corps agir contre sa volonté. Comme quand la paume fine de son autre main s’avança dans une insupportable lenteur, la fumée noire l’enveloppa encore plus. Sa paume délicate de la main, auparavant montrée au ciel, se retourna comme pour appeler les armes qui s’étaient retrouvées au fond de l’eau.
Gardant ce fin et superbe sourire au coin de ses lèvres suaves, ses fins sourcils bruns se haussèrent quelque peu, dans une légère grâce avant de délicatement se froncer à nouveau. Les épées et les flèches allèrent de planter violemment dans la peau écailleuse de la tortue.
Lan Zhan donna le coup de grâce à XuanWu en tirant sur la corde qui se cassa. Ainsi, la tortue morte, personne ne pouvait garder le Wei suspendu en l’air. Il tomba violemment dans l’eau, retrouvant ses esprits peu de temps avant de tomber et de perdre connaissance en rencontrant la barrière fine de l’eau.
Inconscient, il ne sentit pas Lan Zhan le sortir de l’eau froide et sale de la grotte. Il ne le sentit pas l’aider à se relever et l’aider à marcher afin de l’emmener s’asseoir. Il ne sentit que la chaleur agréable d’un transfert d’énergie spirituelle. Ce qui le réveilla et qui le fit vite cracher du sang. Il se tenait à l’épée pleine de ressentiment comme si elle était une peluche à laquelle un enfant pouvait s’accrocher suite à un horrible cauchemar, comme s’il pouvait raccrocher sa vie à cette épée. Il revenait peu à peu à lui mais n’arrivait pas à formuler des phrases complètes. Il demanda à Lan Zhan si elle était morte, si la créature était vraiment morte. En toussant violemment, retrouvant ainsi un plein contrôle sur son divin corps svelte et délicat, il inquiéta Lan Zhan qui lui redonna un peu d’énergie spirituelle, comme s’il était une charmante demoiselle en détresse qui avait besoin de son aide.
Trouvant la grotte trop calme, le Wei demanda à son Lan de chanter quelque chose. Mais le silence était d’or et Lan Zhan ne répondait pas. « Je savais que tu m’ignorerais » rala-t-il, adorable et boudeur. Mais, une faible voix s’élevait dans la grotte. Une douce mélodie magnifique, splendide et gracieuse, noble. Comme si la voix froide mais tendre de Lan Zhan et la sienne, suave et hypnotique, pareille à celle des sirènes, s’unissaient pour ce chant.
Au bout de quelques secondes, la mélodie se stoppa et Wei Ying demanda quel était le nom de cette chanson. Un délicat filet de sang coulait le long de la pulpe exquises de sa sublime lèvre inférieure, coulant aussi sur l’opaline et fragile peau de lys du beau Wei. Fatigué, ses séduisants traits trop adoucis par l’épuisement, il finit par s’endormir. Il ne vit que les lèvres masculines et charnues de Lan Zhan se mouvoir avec douceur pour lui donner le nom de la chanson qu’il avait composé. Ses doux yeux de biche se fermèrent alors. « WangXian » ou « WuJi » ? Ce qui était sûr, c’était que cette mélodie tendre et hypnotique demeurerait à jamais dans son esprit...
MASSACRE AU CLAN JIANG Le calme avant la tempête Après avoir été sauvés, au bout d’une semaine, de la grotte par Jin Zixuan et par Jiang Cheng, les deux cultivateurs du Clan Jiang retournèrent à Yunmeng. Portant encore son hanfu sale, Wei Ying dut vite se changer et mettre quelque chose de propre sur ses fines et délicates courbes voluptueuses, sensuelles avant de rendre visite à Oncle Jiang. Jiang Cheng aida le beau Wei, quelque peu fatigué par tous ces voyages, à marcher et à se diriger là où Oncle Jiang et ShiJie se trouvaient. Les deux héritiers du Clan Jiang assistèrent à l’entraînement des jeunes disciples, Jiang Fengmian aidant un jeune disciple à servir d’un arc. Wei Ying, adorable et lumineux, fit connaître son retour en disant à son Oncle Jiang qui lui aussi voulait faire tirer à l’arc. Ainsi, Jiang Fengmian et ShiJie se retournèrent vers le Wei qui semblait bien épuisé, malgré le doux sourire qui illuminait son beau visage. Cependant, fatigué par toutes ces péripéties, il s’évanouit.
Le beau Wei se réveilla enfin. Un doux sourire empreint d’une certaine nostalgie étira ses traits angéliques quand il vit le dessin qu’il avait fait sur son lit quand il était plus jeune. Ce doux sourire s’élargit d’autant plus lorsqu’il vit sa ShiJie près de lui pour le soigner. Celle-ci sourit à son tour. Jiang Cheng arriva à son tour, tenant un bol de soupe aux racines de lotus et aux côtes de porc. Bol de soupe qu’il prit volontiers pour commencer à manger. Il devait vraiment être adorable et mignon en ce moment même pour que ShiJie et Jiang Cheng soient, eux aussi, très heureux. Une fois qu’il eut fini, il demanda à ShiJie de nettoyer sa belle bouche. Évidement, Jiang Cheng répliqua de suite, quelque peu énervé. Wei Ying lui répondit que ses pauvres petits bras étaient beaucoup trop faibles pour porter quoi que ce soit. YanLi lui nettoya alors la bouche, cette exquise rose s’étant esquissée en un doux et tendre sourire. Lorsque Jiang Cheng eut une réplique un peu plus dure que les précédentes, Jiang Fengmian avait aussitôt réprimandé son fils. Wei Ying, ayant essayé de se relever avec le peu de force qui restait dans son divin corps fin, assura son Oncle que Jiang Cheng avait parlé sous le coup de la colère et que tout allait bien. La réponse du Chef de Clan Jiang eut pour effet de faire rappliquer Madame Yu, ouais, elle connaissait le chemin pour venir dans sa chambre. Celle-ci réprimanda son mari sur ses agissements vis-à-vis de Jiang Cheng et de Wei Ying. Elle alla même jusqu’à le soupçonner d’aimer, encore ?, Cangse Sanren, qui n’était autre que la mère de Wei Ying. En effet, des rumeurs disaient que Jiang Fengmian l’aimait encore et que Wei Ying était son fils. Cette accusation rendit furieux Oncle Jiang qui s’en alla, Madame Yu à sa suite. Jiang Cheng, car Shijie s’en était allée afin de laisser les trois hommes ensembles, parut blessé et s’en alla aussi. Comme inquiet que son frère s’en alla ainsi, Wei Ying se leva, dans une gracile maladresse, mettant ses bottes sur le trajet qui le menait jusqu’au Jiang. Il le menaça, gentiment, de se battre avec lui avant d’arriver à son hauteur, plus ou moins, et d’entourer son bras frêle autour de ses épaules larges. Il lui expliqua alors que ses parents ont réellement existé et que si Oncle Jiang était moins strict avec sa jolie frimousse, c’était parce qu’il était le fils de quelqu’un d’autre.
Les deux hommes discutèrent ainsi. Wei Ying lui assura qu’Oncle Jiang l’aimait, même s’il n’aimait pas Madame Yu. Il lui donna de nombreux exemples de grands chefs de Clan qui ne correspondaient pas à la devise de leurs propres Clans. Comme Lan Yi, la seule femme du Clan Lan qui, pourtant, était une Cheffe puissante et reconnue. (« Mn, Wei Ying… ») Ainsi, il espérait convaincre son Shidi qu’il allait être un bon chef de Clan, même si lui ne « comprenait » pas la devise du Clan Jiang. Wei Ying lui promit qu’il sera son bras droit dans le futur et qu’il l’aidera comme son père le faisait avec le sien. Il lui assura qu’il se battra avec quiconque osait dire quelque chose quant à sa place de Chef de Clan. Mais Jiang Cheng lui donna un violent coup de coude dans ses fragiles côtes, ce qui eut pour effet de le faire joliment grimacer de douleur.
Les deux Jiang restèrent près d’une petite étendue d’eau en profitant du parfum doux et sucré du Port aux Lotus, le ciel s’étant coloré d’une sublime teinte lilas qui adoucissait les séduisants traits féeriques de Wei Ying.
Les jours suivants, un Chef de Clan mineur était venu de l’aide au Clan Jiang car le Clan Wen avait massacré son Clan entier. Jiang Fengmian décida de partir à Lanling, en compagnie de YanLi, pour demander de l’aide au Chef de Clan Jin. Madame Yu était sortie et avait donné des provisions, ainsi que des médicaments, à YanLi. Même si Madame Yu semblait froide et distante, elle avait tout de même pensé à son mari. Wei Ying sourit quelque peu en voyant un tel spectacle et regarda Jiang Cheng. Même si le beau Wei ne s’était jamais interrogé sur l’amour, pas à cette époque du moins, il savait voir des choses. Ainsi, Oncle Jiang et ShiJie s’en allèrent, Oncle Jiang avait laissé la responsabilité du Clan sur Wei Ying. Il était le disciple le plus âgé du Clan, c’était logique… (Et le plus beau aussi faut l’avouer !)
Les jours passaient, ShiJie et Oncle Jiang n’étaient toujours pas de retour. Ce qui inquiétait fort Wei Ying… Assis sur le sol rocailleux, Jiang Cheng et lui devaient entraîner les disciples. Là, c'était au tir à l’arc et le beau Wei s’ennuyait ferme. L’ennui avait adouci, presque anesthésié, son minois doux. Madame Yu l’avait confiné au Port aux Lotus afin qu’il ne cause plus d’ennuis, comme chez les Wen. Le beau Wei ordonna la fin de l’entraînement sous le regard amusé de Jiang Cheng qui lui disait que cela ne lui ressemblait pas. Il lui avait dit qu’il ne voulait plus jouer. Pour une raison assez étrange, depuis qu’il avait tenu cette épée entre ses fins doigts, Wei Ying avait quelque peu changé, ce n’était pas un changement radical, ça ne se voyait pas, pas encore. Mais son psychisme avait légèrement changé. Du moins, en partie. Il avait demandé à ce que le jeune disciple ramasse les cerfs-volants qui étaient tombés. Il répliqua qu’il s’en serait bien chargé mais que malheureusement, il ne pouvait sortir, que les servantes/gardes du corps de Madame Yu devaient le surveiller. « Shixiong n’a peur de rien. A part Madame Yu et… et des chiens ! » s’étaient écriés en chœur les jeunes disciples pour embêter le plus grand. En se relevant dans un bond vif et félin, Wei Ying avait laissé échapper un « Hé » outré, qui ne le rendait que plus adorable encore. Jiang Cheng les avait fait taire et les avaient tous envoyés ramasser les flèches et les cerfs-volants. Le beau Wei se tournait vers son frère et le remercia. Ils rentrèrent au Port aux Lotus, laissant les disciples s’occuper du reste. Ils avaient confiance en eux, que pourrait-il arriver ?
Derrière l'écran, on me surnomme Brook (ou Brookie le Cookie pour les intimes) et j'ai 20 ans. Dans la vie, j'aime lire, écrire et Xiao Zhan mais chut c'est un secret. Ah, et j'ai connu le forum grâce à A PERSONNE ! Je l'ai co-crée et na ! Un petit mot pour l'équipe ? Sous mes airs de tyran, je suis adorable hihi
Dernière édition par Wei Wuxian le Mar 20 Juil - 20:45, édité 1 fois
Wei Wuxian
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Re: Wei Wuxian ou Sexy Yiling Laozu Mar 20 Juil - 14:39
Histoire
Tempête et massacre
Des cris alertèrent les deux Fiertés de Yunmeng qui sortirent en trombe, rejoignant les disciples. Tous s’adressaient à Wei Ying comme c’était lui le plus âgé. L’un des disciples lui annonça que le plus jeune des disciples a été capturé. La surprise et l’inquiétude s’inscrivant avec douceur sur le beau visage de Wei Ying, celui-ci demanda pour quoi et par qui il a été capturé. Il lui répondit qu’il ne savait pas, ce qui provoqua la colère de Jiang Cheng. Wei Ying essaya de calmer tout le monde, toujours dans une magnificence douce. Il demanda au disciple de lui raconter ce qui s’était passé. Le disciple disait que les Wen étaient arrivés et qu’une femme les guidait. Celle-ci leur avait dit que le jeune disciple conspirait contre les Wen. Wei Ying se doutait que cette femme était la concubine de We. Chao, il lança un regard entendu à Jiang Cheng avant d’essayer de calmer les disciples. Une main fine sur sa hanche voluptueuse, il leur conseilla de ne pas parler afin que le Clan Wen n’utilise pas leurs mots contre eux. Il leur demanda si la femme ne portait pas d’épée, si elle avait un air charmeur et un grain de beauté sur le visage, décrivant ainsi la concubine Wen. C’était bien elle. Ses fines mains délicates reposant sur ses hanches sensuelles, son hanfu mettant en valeur sa svelte taille divine et sa silhouette magnifiques, Wei Ying réfléchissait, son beau visage peint de la lumière lilas du ciel.
À force de crier, cela attira Madame Yu, dont l’agréable voix pouvait effrayer le plus dangereux des monstres. Elle demanda la raison de tous ces cris, Jiang Cheng et Wei Ying se regardèrent, quelque peu confus. Madame Yu se mit entre les deux frères qui s’étaient retournés pour mieux la voir. Après avoir lancé un regard méprisant vers Wei Ying et sa divine silhouette, elle râla de ne pas avoir de journée tranquille. Ce qui fit baisser le joli minois du beau Wei. Cette femme le haïssait…
Jiang Cheng informa sa mère de l’arrivée des Wen. Bien sûr, celle-ci était toujours aussi arrogante et avait répondu qu’avec tout le bruit qu’ils avaient fait tantôt, elle le savait déjà. C’était là où la concubine de Wen Chao arriva. (Et le début des emmerdes avec…) En étant conduite au Hall, la concubine faisait des remarques sur l’entretien de cette pièce. Wei Ying et Jiang Cheng faillirent perdre leur sang froid lorsque la Wen osât s’asseoir sur le trône en lotus, Madame Yu était particulièrement calme, en revanche. La situation dérapa assez vite lorsque la concubine accusa le Wei d’une chose qu’il n’avait pas faite. Wen Chao s était accaparé l’exploit que Lan Zhan et lui avait réalisé, ensemble. La capture était une excuse. Wei Ying s’en fichait pas mal. Il savait ce qu’il avait fait et accomplis. Il en était fier. Mais, sentir le regard méprisant de Madame Yu sur lui quand celle-ci avait dit que les serviteurs devaient agir en tant que tels. Il n’était pas un serviteur mais un disciple, un membre à part entière du Clan Jiang… L’arrogance étant un magnifique à porter pour son beau minois, Wei Ying en usa quand la concubine se mit à parler de la mort de XuanWu, mentant sur les faits. Wen Chao voulait que Wei Ying soit puni. Jiang Cheng avait essayé de prendre la défense de son Shixiong mais sa mère l’en empêcha (Évidemment…) Lorsque “serviteur” suivit son nom, son nom de courtoisie, Wei Ying commença à s’énerver. Il ne supportait pas que l’on le nomme ainsi. L’autre Wen ajouta que si quelqu’un le protégeait au Port aux Lotus, cela signifierait que les rumeurs sont vraies, les rumeurs disant qu’Oncle Jiang et Cangse Sanren auraient eu un enfant et que c’était lui. Madame Yu semblait furieuse, Jiang Cheng aussi. Wei Ying s’énerva, tonnant un “Espèce de- !” enragé quand la Wen répondit à Jiang Cheng. “Des rumeurs concernant le passé du Chef de Clan Jiang.” Voilà ce qui avait été répondu et ce qui avait énervé Wei Ying. En faisant un pas en avant, il se prit un violent coup de Zidian dans le dos, le faisant s'agenouiller dans une vive grâce forcée et mettre une main à terre. Il ordonna à Jiang Cheng de ne pas s’en mêler, prêt à recevoir sa punition en mettant son autre main délicate à terre, sa chevelure tombant lourdement sur ses frêles épaules. Il tremblait de toutes parts avant de recevoir un autre coup de Zidian.
Une table en bois céda sous son poids, pourtant léger quand il tomba dessus. Son corps, déjà meurtri par Zidian, se tendit de douleur. Il enroula son bras tendre autour de son ventre fin, comme pour se protéger.
Trois coups. Il se souvenait d’avoir pris trois coups dans le dos avant que Madame Yu ne se décide à enfin le laisser. Zidian avait paralysé son corps, il n’arrivait plus à bouger. Jiang Cheng s’était mis à ses côtés, tentant de le protéger. Doucement, le Jiang l’avait pris dans ses bras pour le redresser quand les choses devinrent de plus en plus chaotiques. En effet, Wen Chao voulait la main droite de Wei Ying. Soit, il l’aurait. Il l’apprendra à se battre avec sa main gauche. Mais à peine la concubine avait-elle mentionné que le Port aux Lotus deviendrait un Bureau de Surveillance, Madame Yu décida de passer ses nerfs sur la concubine en la giflant. Elle lui rappela alors qui était le supérieur, disant qu’elle ferait mieux de savoir qui est le maître du chien qu’elle bat. (Ouais, jolie métaphore alors que j’ai peur des chiens… LAN ZHAAAAAN !!!). Dans la pagaille générale qui suivit le combat entre Wen Zhuiliu et Madame Yu, la concubine avait réussi à donner l’alerte. Aussitôt, Madame Yu laissa le combat et s’était hâté de prendre son fils et Wei Ying par le col de leurs habits pour les emmener en sécurité.
Il était rare de voir Madame Yu avec des émotions. Wei Ying en pleurs, blessé et avec un filet de sang qui coulait de sa belle bouche, il assista à l’étreinte douce et maternelle entre Madame Yu. Baissant la tête, il regrettait de ne pas avoir sa mère. Que la seule personne qui pouvait être une figure maternelle le détestait. Quand Madame Yu s’était retournée vers lui, il avait tant espéré qu’elle l’embrasse à son tour, qu’elle le rassure, qu’elle lui dise qu’elle l’aime. Il avait tant espéré… Malheureusement, il lut la colère dans ses yeux quand elle le prit par le col de son hanfu. Elle le blâmait de la situation mais elle savait que lui seul était capable de protéger Jiang Cheng. Elle enleva Zidian, le donnant ainsi à Jiang Cheng et les attacha ensemble avec le fouet violet. Elle donna un coup de pied dans lequel les deux frères avaient été déposés et mis en sécurité. Hurlant à la mort et pleurant la perte de leur figure maternelle, les deux garçons rencontrèrent Oncle Jiang et ShiJie à qui ils expliquaient la situation. ShiJie fut, elle aussi, attachée avec ses frères grâce à Zidian et Oncle Jiang rentra au Port aux Lotus, disant à ses enfants légitimes de ne pas pleurer. Quant à Wei Ying, Oncle Jiang lui avait dit de veiller sur eux. Mais, ne pleurait-il pas lui aussi ? N’avait-il pas besoin d’être rassuré ? Pleurant à chaudes larmes, ils gagnèrent la rive et furent libérés.
Fuite
La fuite ne fut pas facile. ShiJie était tombée malade et Jiang Cheng, dévasté, ne parlait plus. Depuis qu’ils avaient vu, de leurs yeux vus, le massacre du Clan Jiang avec les corps morts de Madame Yu et de Oncle Jiang, le Jiang ne parlait plus et avait failli tuer son Shixiong en l’étranglant. Quand Wei Ying était rentré avec des médicaments pour sa sœur, Jiang Cheng n’était pas là. Le beau Wei en déduisit que son Shidi était reparti au Clan Jiang, il jura à sa sœur de le faire revenir et, retenant ses larmes, il s’en alla. Il avait senti les soldats Wen si près de lui tantôt… Il avait eu si peur que quelque chose de grave arrive.
En s’infiltrant dans le Port aux Lotus, il tomba sur deux soldats Wen qui goûtaient à la liqueur qu’il avait lui-même inventée. Un souvenir douloureux lui apparut. Lui, buvant de l’alcool avec superbe comme toujours, ShiJie qui faisait une belle calligraphie et Jiang Cheng qui ramassait des lotus. La fin d’une belle époque de paix. Il rencontra ainsi Wen Ning qu’il avait faillit tuer, quelque chose de sombre commençait à prendre le dessus sur lui. Wen Ning lui avait assuré qu'il avait vu Jiang Cheng et que celui-ci avait été sévèrement puni par Wen Chao. Le beau Wei demanda son aide au Wen qui accepta.
Il attendait patiemment Wen Ning et Jiang Cheng même s’il se disait qu’il valait mieux que Jiang Cheng ne soit pas là. Quelques secondes plus tard, Wen Ning était revenu avec Jiang Cheng sur son dos. Le Jiang était pâle et semblait avoir été très blessé. Wei Ying le prit dans ses bras et vérifia que son ShiDi était toujours vivant. Une fois que cette vérification a été faite et qu Wen Ning lui ait dit que Jiang Cheng avait été blessé aux côtes, le beau Wei devait réfléchir à une cachette pour les deux Jiang. C’était alors que le Wen lui proposa de rejoindre sa sœur à Yiling. Yiling…
YILING, WEN QING
En arrivant à Yiling, Wei Ying était sur ses gardes. Il soupçonnait les autres de vouloir du mal à sa famille, son esprit de plus en plus aveuglé par une chose occulte, sombre. C’était pourquoi lorsqu’ils étaient arrivés là où vivait Wen Qing, le beau Wei s’éteint senti menacé, devenant paranoïaque au sujet des Wen. Puis, force était de constater qu’elle était de son côté puisqu’elle ne les dénonça pas aux soldats Wen qui étaient venus.
Au fil des jours, une petite complicité s’était créé entre eux. Jiang Cheng dans le coma, Wen Qing s’occupait de lui. Un jour, une terrible nouvelle se fit entendre par les fines oreilles du beau Wei : Jiang Cheng avait perdu son Noyau d’Or, et avait quelques côtes cassées. Wei Ying s’en était senti responsable et avait demandé à la médecin Wen de lui prêter des ouvrages de médecine pour trouver un moyen de rendre son Noyau d’Or à son frère.
Malheureusement, Jiang Cheng s’était réveillé. Et quand Wei Ying lui apporta son déjeuner et le taquina comme au bon vieux temps, Jiang Cheng le poussa mais sans force. Peu de secondes suffirent pour que le Jiang éclate de colère et commence à blâmer le beau Wei de la perte de son Noyau. Enfin, il le blâmait de l’avoir sauvé d’entre les griffes des Wen, plutôt. A moitié en pleurs, Wei Ying devait vite trouver un moyen de sauver son Shidi et de faire en sorte qu’il ne soit pas un être sans talents, et sans Noyau.
Pendant ce qui semblait être des semaines, Wei Ying ne mangeait pas, ne dormant que très peu, toujours à la recherche d’un moyen de redonner son Noyau à Jiang Cheng. Et puis, un jour, par miracle, il a trouvé ce moyen. D’abord la joie se lit sur son visage, puis il réalisa ce qu’il allait devoir faire…
Il en informa Wen Qing qui était furieuse. Elle refusait de le faire, ça devait aller contre la devise des médecins Wen : Ne pas briser les gens. Mais Wei Ying s’en fichait. Il devait le faire, pour Jiang Cheng. Lui, il avait peut être une solution pour rester talentueux mais Jiang Cheng n’en avait pas la chance. Et puis c’était 50% de réussite. Même si ça échouait, il aurait essayé… Wen Qing, le croyant, accepta alors sa proposition, à contre-cœur.
Wei Ying avait annoncé la bonne nouvelle à Jiang Cheng qui était si excité qu’il en venait même à manger ce que le beau Wei avait préparé. Il avait décidé de ça peu de jours après avoir rencontré Song Lan qui avait été victime de cécité. Mais ses yeux pouvaient toujours voir, grâce à Xiao XingChen. C’était là qu’il eut l’idée de son plan. Faire croire à Jiang Cheng que Baoshan Sanren pourrait lui rendre son Noyau d’Or. Comme l’avait fait Xiao XingChen avec Song Lan. En revanche, ils devaient mettre ShiJie en lieu sûr et les deux Fiertés de Yunmeng l’envoyèrent auprès de Jin Zixuan. Après ça ils décidèrent de se rendre sur une montagne à Yiling.
NOYAU D’OR (TW/CW : Sang, souffrance)
Bandant les yeux de Jiang Cheng, Wei Ying lui expliqua la marche à suivre pour que tout fonctionne. Tandis que Jiang Cheng gravissait la montagne en tenant son bâton comme une épée, lui il alla rejoindre Wen Qing en haut pour commencer le transfert. La jeune femme avait endormi le Jiang et Wei Ying était sorti de sa cachette. Tout allait commencer pour le Jiang, tout allait se terminer pour le beau et talentueux Wei Wuxian que l’on connaissait.
Pendant deux jours et une nuit, il avait souffert comme jamais avant il n’avait souffert. Sa chair, si fine et si fragile, se faire entailler ainsi, son ventre à moitié ouvert et la main chercheuse de Wen Qing pour trouver le Noyau d’Or… Puis, enfin couper le Noyau d’Or à la veine qui le reliait à son corps. Une torture qui l’avait fait hurlé et pleuré. Mais il devait le faire. Il le devait. Il supporta alors cette douleur et regarda, de ses doux yeux de biche, la source de son énergie, de son pouvoir se faire enlever de son corps. Une fois ceci-fait, Wen Qing le donna à Jiang Cheng et aida le beau Wei à s’en sortir.
Une semaine plus tard, Wei Ying attendait son frère au bas de la montagne. Il se sentait si faible et il avait mal. Il avait perdu un poids considérable et était bien pâle. Il devait manger quelque chose. Il alla dans une taverne. En voyant les têtes encapuchonnées, il rebroussa chemin avant qu’une main puissante ne le fasse voler et rencontrer une table que son poids léger avait tout de même réussi à briser. Wen Zhuiliu car c’était lui qui l’avait frappé, regarda sa main, celle qui avait le pouvoir de prendre les Noyau d’Or, ne comprenant pas ce qui se passait. Wei Ying souriait intérieurement. Au moins, ces chiens de Wen n’auront pas la satisfaction de prendre son Noyau. Cependant, Wei Ying n’était pas dans une bonne situation. Il se faisait battre et presque insulter par Wen Chao mais jamais le beau Wei ne perdit de sa superbe. Il lui demanda même de le tuer de la manière la plus cruelle qui soit. Ainsi, il redeviendrai en fantôme et les hanterai jusqu’à la mort, comme il n’a pas reçu la cérémonie de l’apaisement de l’âme n’étant qu’un fils de serviteur. Un sadique, diabolique mais magnifique sourire s’empara de ses lèvres suaves et de son visage blanc comme neige quelque peu coloré à cause des coups des Wen.
TERTRE FUNÉRAIRE
Afin de se débarrasser de lui, Wen Chao emmena et jeta le beau Wei dans le Tertre Funéraire, ignorant que le morceau de Fer Yin caché dans sa poche Haikun s’était réveillé à la minute où la concubine Wen avait osé rouvrir sa blessure au pectoral délicieux de Wei Ying. Ainsi, des voix l’appelèrent, lui demandant s’il voulait se venger. Une voix plus douce mais aussi plus froide et familière à ses oreilles l’appelèrent, ne disant que “Wei Ying”. Lan Zhan…
Il se laissa guider par la voix de Lan Zhan et vit l’épée flotter, enveloppée de vapeur noire. Avec difficulté, il prit l’épée, hurlant à s’en casser la voix et la planta dans le sol, ne faisant plus qu’un avec les Ténèbres, l’énergie du ressentiment désormais. Son visage, son beau visage était dépourvu d’émotion. Il était d’une sublime neutralité mais son séduisant regard criait à la vengeance.
NAISSANCE DU SEXY YILLING LAOZU
Pendant les trois mois qui suivirent sa chute dans les Tertres Funéraires, Wei Ying ne fit que cultiver l’énergie du ressentiment grâce au Fer Yin, enfin grâce à l’épée qu’il a récupéré dans le ventre de la Tortue du Carnage. Plus les mois passaient, plus le caractère du bel Indompté s’assombrissait. Sa chair fine, aussi blanche que la plus pure des porcelaines était devenue pâle, très pâle. Ses doux yeux de biche au noisette divin avait viré à un noir abyssale où une vive lueur de vengeance faisait rougeoyer ces pupilles exquises. Quant à ses lèvres, auparavant aussi rouges qu’une ardente rose, elles avaient aussi bien pâlies, n’étant plus qu’une faible teinte diamantée.
Une fois qu’il eut maîtrisé l’énergie hostile dans son corps et qu’il était certain qu’il ne perdrait pas le contrôle, il partit assouvir sa soif insatiable de vengeance.
LE RETOUR DE WEI WUXIAN
Wei Wuxian, en pleine possession de ses nouveaux pouvoirs surpuissants, avait réussi à tuer une bonne partie des soldats Wen. Seuls Wen Chao et Wen Zhuiliu avaient réussi mais en vain. Il les avaient traqué comme un chasseur traque ses proies et les avaient enfin retrouvé, cachés dans une auberge. Sa silhouette fine et divine était reconnaissable entre toutes. Ses graciles formes sensuelles et voluptueuses aussi. Montant les escaliers avec lenteur et grâce, une grâce féline, il se rapprocha de plus en plus de celui qui avait osé lui voler sa vie. Avec ce délicieux et dangereux sourire malicieux en coin de ses suaves lèvres exquises, pareilles à une magnifique rose arrogante, il fit face à Wen Zhuiliu qui protégeait ce chien de Wen Chao qui avait perdu de sa superbe méprisante d’antan. Il se mouvait avec sensualité et nonchalance, faisant balancer ses hanches généreuses et affriolantes avec délice dans ses hanfu, tunique rouge et tunique extérieure aussi sombre que son aura. Son sublime teint diaphane mettait le terrible et alléchant rouge cerise de sa belle bouche en valeur, il était entouré de Ténèbres et de danger. Déjà mince, il s’était affiné et était devenu d’une beauté encore plus inégalable. Il tenait Chenqing entre ses fins doigts, la faisant reposer dans le creux délicieux de son dos, touchant presque ses belles fesses rondes.
Avec arrogance et superbe, il confronta d’abord verbalement les deux Wen. Il perdit son délicieux sourire malicieux, le sérieux et la haine prenant magnifiquement possession de son beau visage alors qu’il porta Chenqing à ses lèvres suaves et sensuelles, commençant alors à jouer une terrible mélodie qui fît même flancher la faible lueur que dégageant de fines bougies. Il invoqua une ancienne amie, toute vêtue de rouge et aux infinies ongles rubis, le teint aussi diaphane que celui de Wei Ying. Tandis que la démone en rouge se chargeait de Wen Chao, Wei Ying s’occupa de Wen Zhuiliu qui fendit sur lui. Mais ni une ni deux, le toit se brisa, laissant apparaître Lan Wang Ji et Jiang Cheng. Ce dernier tua Wen Zhuiliu en le pendant grâce à Zidian.
Une fois un des Wen mort, l’autre étant totalement terrorisé dans son coin, les trois hommes se regardèrent.
Jing Cheng prit son aîné dans ses bras après lui avoir lancé Suibian et l’avoir quelque peu brutalisé en lui demandant où il était passé. S'ensuivit une discussion assez tendue entre Lan Zhan et Wei Ying. Ce dernier se devait de ne pas perdre la face devant le Lan. Il demeurait froid, d’une superbe glacée. Aussi méprisant que séduisant il restait. Il restait maître de lui-même, une chose que Lan Zhan ne comprenait pas. Il l’invita à s’en aller après avoir donné un magistral et vif coup de pied dans la figure de Wen Chao.
Après avoir tué, et plus même, Wen Chao, Wei Ying suivit Jiang Cheng à Qinghe pour y retrouver Jiang YanLi.
CAMPAGNE DU COUP DE SOLEIL + BANQUET A QISHAN
ShiJie le prit dans ses bras en le voyant. Ça faisait si longtemps… La Campagne du Soleil regroupait tous les Clans. Les banquets étaient interminables. Et cette tension, plus qu'électrique entre Lan Zhan et lui commençaient à peser sur le cœur du beau Wei. Mais il ne pouvait rien dire. Alors, il demeurait muet quand le Lan était là.
Il dut néanmoins lui parler quand Lan Zhan avait parlé à sa ShiJie. Avant, ils s’étaient battus, Wei Ying esquivait les coups jusqu’à ce que Lan Zhan lui mette Bichen près de sa belle gorge. Tremblant, Wei Ying félicita le Lan et une discussion sous la pleine lune suivit le combat. Les tensions redescendaient. Malheureusement, Jin Zixuan étant un crétin, Wei Ying faillit perdre le contrôle. Après un coup de poing dans l'estomac et un morceau de flûte, Lan Zhan intervient enfin et réussit à calmer le beau Wei qui était toujours aussi séduisant ainsi en colère.
La Campagne du Soleil avançait, et le jour de l’invasion aussi. Wei Ying avait perfectionné le Sceau du Tigre Stygien après trois mois d’attente. L’attaque avait été rapide. Wen Ruohan avait été tué par Meng Yao, qui prenait à présent le nom de Jin GuangYao, et Wei Ying avait tué nombres de marionnettes Wen, dévoilant ainsi son arme la plus précieuse. Malheureusement blessé, il resta inconscient pendant trois jours, Lan Zhan l’ayant veillé en jouant du guqin pour qu’il guérisse plus vite.
Wei Wuxian
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Re: Wei Wuxian ou Sexy Yiling Laozu Dim 10 Oct - 12:27
Histoire
Front de Jiangling
Wei Wuxian et Jiang Cheng continuent de travailler aux côtés de Lan Wangji sur le front de Jiangling. Bien que Wei Wuxian et Lan Wangji entretiennent une relation de travail, ils se disputent fréquemment sur les méthodes de ce dernier. Lan Wangji pense que Wei Wuxian a causé trop d'effusions de sang dans ses méthodes, et à un moment donné, Lan Xichen vient les aider à maintenir leur coopération.
Les méthodes de Wei Wuxian sont notoirement brutales, alors qu'il creuse profondément dans la terre pour renverser tous les cimetières du clan Qishan Wen. Les cadavres féroces qu'il élève sont utilisés pour attaquer leurs descendants, et pour chaque cultivateur tué, il les transforme en cadavres féroces pour tuer leurs amis et leur famille.
Devant Langya
À un moment donné, Wei Wuxian et Jiang Cheng arrivent à Langya pour aider Jin Guangshan . Jiang Yanli les accompagne en tant que cuisinière et, en remerciement, fournit des bols de soupe supplémentaires à ses frères. À leur insu, elle a également fourni à Jin Zixuan un bol supplémentaire. Cependant, une autre femme s'en attribue le mérite, et lorsque Jin Zixuan découvre un jour Jiang Yanli dans sa chambre, il l'accuse de mentir pour se rapprocher de lui lorsqu'elle lui avoue la vérité.
Wei Wuxian arrive pour voir son shijie en larmes et se jette immédiatement sur Jin Zixuan. Une fois que l'autre femme a été convoquée et que la vérité est sortie, il faut Jiang Cheng, Jin Guangshan et Jiang Yanli pour empêcher Wei Wuxian de continuer à battre Jin Zixuan.
Au cours de la campagne Sunshot, Wei Wuxian développe également le Yin Tiger Tally à partir de l'épée de fer qu'il avait trouvée à l'origine dans la Tortue du massacre. Il l'utilise pour contrôler des centaines à des milliers de cadavres à la fois. Bien que l'heure et le lieu de son utilisation ne soient pas spécifiés, il utilise évidemment l'arme en présence de Jin Guangshan, faisant de Langya un lieu possible pour son utilisation.
Banquet de fleurs à la tour Koi
Au lendemain de la guerre, le clan Lanling Jin organise un somptueux banquet. Wei Wuxian assiste à contrecœur avec Jiang Cheng et s'attire les critiques de Nie Mingjue pour ne pas avoir porté Suibian. Il quitte bientôt le banquet après une autre dispute avec Jin Zixuan.
Chasse de nuit à Phoenix Mountain
Wei Wuxian chevauche à la tête de la formation équestre du clan Yunmeng Jiang aux côtés de Jiang Cheng, recevant des fleurs lancées par de nombreuses admiratrices. Il garde la fleur que Jiang Yanli lui lance, et jette même ses propres fleurs vers Lan Wangji pour le taquiner.
Lors de la compétition de tir à l'arc pour commencer la chasse, Wei Wuxian se moque de l'arrogance de Jin Zixuan. Déterminé à battre Jin Zixuan, Wei Wuxian demande à Lan Wangji d'emprunter son ruban frontal pour l'utiliser comme bandeau, mais Lan Wangji refuse. En fin de compte, Wei Wuxian utilise le ruban de son protège-poignet pour se bander les yeux et tirer directement à travers la cible.
Après le début de la chasse, Wei Wuxian garde les yeux bandés alors qu'il joue à Chenqing pour chasser les mauvais esprits vers le reste du clan Yunmeng Jiang pour les capturer. Il s'endort et est abasourdi. quand quelqu'un le pousse contre un arbre et l'embrasse passionnément.
Surpris, Wei Wuxian enlève son bandeau et fouille la zone. Il trouve finalement Lan Wangji en train de pirater un arbre avec Bichen. Il taquine Lan Wangji sur le fait qu'il n'a jamais embrassé personne, tout en prétendant avoir embrassé de nombreuses filles - une affirmation qu'il admettra plus tard comme un mensonge.
Les deux rencontrent ensuite Jin Zixuan et Jiang Yanli. Croyant que Jin Zixuan bouleverse sa sœur, Wei Wuxian saute entre eux et le confronte. Madame Jin arrive pour gronder son fils, et Jin Zixun conduit plusieurs cultivateurs, dont le chef de clan Yao , à confronter Wei Wuxian pour avoir pris trop de proies. Jin Zixun rejette Wei Wuxian comme le "fils d'un serviteur", et Jiang Yanli le défend avec ferveur contre les plaintes et les insultes. Lorsqu'elle se prépare à partir avec Wei Wuxian, tout le monde est stupéfait lorsque Jin Zixuan laisse échapper ses sentiments pour Jiang Yanli devant la foule... avant de s'enfuir. Rencontre avec Lan Wangji à Yunmeng
Rencontre à Yunmeng
Un mois plus tard, Wei Wuxian rencontre Lan Wangji à Yunmeng. Il conspire pour que plusieurs fantômes femelles le couvrent de fleurs, avant de lancer lui-même une pivoine rose. Wei Wuxian invite Lan Wangji à le rejoindre dans la taverne, mais lorsque Lan Wangji tente de l'inviter à nouveau à Gusu, Wei Wuxian réagit avec rejet et agacement. Incident sur le chemin Qiongqi
Le même jour, Wei Wuxian est abasourdi lorsque Wen Qing arrive à Lotus Pier vêtu de haillons. Elle implore son aide pour retrouver son frère, qui a été emmené par Jin Zixun. Wei Wuxian s'approche alors du banquet privé du clan Lanling Jin, boit l'alcool que Jin Zixun a poussé les Jades de Lan à boire et demande une audience avec Jin Zixun.
Lorsque Jin Zixun lui dit d'attendre au moins plusieurs heures, Wei Wuxian s'impatiente. Après avoir informé Jin Zixun qu'il souhaitait trouver Wen Ning, un vestige du clan Qishan Wen que Jin Zixun avait capturé, leur dispute s'intensifie jusqu'à ce que Jin Guangshan intervienne. Cependant, une fois que Jin Guangshan mentionne le Yin Tiger Tally, Wei Wuxian se moque de lui pour ses ambitions de remplacer le clan Qishan Wen. Il sort ensuite Chenqing et donne Jin Zixun au compte de trois pour lui dire l'emplacement de Wen Ning, ou il convoquerait des cadavres à la tour Koi. Jin Zixun lui dit finalement de chercher le chemin Qiongqi , et Wei Wuxian s'en va.
Wei Wuxian et Wen Qing trouvent les membres réduits en esclavage du clan Qishan Wen maltraités, humiliés et obligés de découper les gravures de l'histoire de leur propre clan qui avaient autrefois marqué les murs de la route de la vallée pour faire place à de nouveaux drames détaillant les exploits du Le clan Lanling Jin. Lorsque Wei Wuxian interroge les gardes sur l'emplacement de la disparition de Wen Ning, ils insistent sur le fait qu'il doit avoir été là, car ils ne tueraient jamais personne.
Wei Wuxian accuse rapidement les gardes de ne pas considérer tout membre du clan Wen Qishan personnes . En utilisant Chenqing, Wei Wuxian réveille ceux qui sont morts et ont été enterrés pour couvrir les abus des gardes, y compris Wen Ning. Wei Wuxian lui permet, ainsi qu'à ses compagnons ambulants, de se venger des gardes qui les ont tués, avant de libérer une cinquantaine de restes et de les emmener aux tumulus de Yiling pour vivre sous sa protection.
Quitter le clan Yunmeng Jiang
Jiang Cheng visite les tumulus pour avertir son frère qu'il ne pourrait pas le protéger s'il insistait pour protéger les membres du clan Qishan Wen. Wei Wuxian lui rappelle avec colère que Wen Ning et Wen Qing les ont sauvés, mais Jiang Cheng insiste sur le fait que la société a déjà pris sa décision contre quiconque porte le nom de Wen.
Jiang Cheng devient furieux lorsque Wei Wuxian explique qu'il a promis au dévasté Wen Qing qu'il rétablirait la conscience du cadavre féroce de Wen Ning. En réponse, Wei Wuxian déclare qu'il quittera le clan afin que Jiang Cheng n'ait pas à le protéger, et les deux organisent un duel. À la fin, Jiang Cheng poignarde Wei Wuxian, Wei Wuxian convoque Wen Ning pour lui casser le bras, et les deux partent en se maudissant.
La vie aux tumulus
Plusieurs mois plus tard, prenant pitié du tout-petit Wen Yuan , Wei Wuxian l'amène à Yiling pour acheter de la nourriture. Malheureusement, Wen Yuan s'éloigne et Wei Wuxian est stupéfait de le trouver en train de pleurer et de s'accrocher à la jambe de Lan Wangji.
Wei Wuxian intervient finalement, distrayant Wen Yuan en lui demandant s'il veut acheter des jouets à un vendeur. Cependant, Wei Wuxian avait seulement l'intention de taquiner l'enfant, pas d'acheter les jouets. Lan Wangji intervient pour acheter autant de jouets que le garçon veut.
Lan Wangji emmène ensuite Wei Wuxian et Wen Yuan dans un restaurant pour manger, où il informe Wei Wuxian que Jiang Yanli et Jin Zixuan se marieront la semaine prochaine. Cependant, leur repas est soudainement interrompu par un talisman brûlant des tumulus, signalant des problèmes.
Wei Wuxian, Lan Wangji et Wen Yuan reviennent pour découvrir que le cadavre inconscient de Wen Ning s'est libéré. Alors que Lan Wangji et Wei Wuxian jouent tous les deux des mélodies pour le contrôler, Wei Wuxian restaure avec succès sa conscience.
Lan Wangji part peu de temps après, exprimant son inquiétude quant au fait que Wei Wuxian ne peut pas contrôler sa cultivation. Wei Wuxian, cependant, a droit à un repas de célébration par les restes de Wen, dont Granny Wen et Oncle Four , qui sont ravis de retrouver Wen Ning.
Peu de temps après, Wen Ning et Wei Wuxian s'aventurent à Yiling et rencontrent Jiang Cheng et Jiang Yanli. Jiang Yanli a préparé de la soupe pour ses frères et en donne même à Wen Ning, bien qu'il ne puisse pas manger. Elle porte ses robes de mariée pour que Wei Wuxian puisse la voir et lui demande de choisir un nom de courtoisie pour son futur fils. Wei Wuxian a choisi "Rulan" et Jiang Cheng se moque de son utilisation d'un homophone pour le "Lan" du clan Gusu Lan.
Mort de Jin Zixuan Après la naissance de Jin Ling , Jin Zixuan invite Wei Wuxian à la célébration d'un mois de son neveu. Fou de joie, Wei Wuxian sculpte une cloche enchantée pour son neveu et l'orne d'un pendentif pompon qu'il achète au pavillon du trésor de Lanling.
Mais alors que lui et Wen Ning marchent le long du chemin Qiongqi, Wei Wuxian se rend compte que le chemin est trop calme. Wen Ning le sauve d'une flèche et Jin Zixun apparaît avec trois cents cultivateurs pour lui tendre une embuscade. Jin Zixun révèle qu'il souffre de la Malédiction des Cent Trous , disant que si Wei Wuxian ne l'enlève pas, il le tuera pour se libérer de la malédiction. Bien que Wei Wuxian insiste sur son innocence, il aggrave la situation en ajoutant que s'il voulait tuer Jin Zixun, il le ferait mille fois pire.
Lorsque Wei Wuxian tente d'invoquer des cadavres avec Chenqing, Jin Zixun se moque du fait qu'il avait déjà retiré tous les cadavres le long du chemin. En dernier recours, Wei Wuxian contrôle Wen Ning pour attaquer les trois cents cultivateurs alors qu'il affronte Jin Zixun.
Jin Zixuan saute soudainement entre eux, ayant été informé de l'embuscade par Jin Guangyao. Alors qu'il insiste pour que Wei Wuxian se soumette aux questions de la tour Koi, promettant sa libération s'il était innocent, Wei Wuxian exprime son incrédulité et l'accuse d'être au courant de l'attaque. En ce moment, Wei Wuxian perd le contrôle de sa colère et de sa cultivation, et par conséquent, Wen Ning met son poing dans le cœur de Jin Zixuan.
Wei Wuxian s'effondre d'horreur tandis que Wen Ning tue Jin Zixun, avant de ramener Wei Wuxian aux tumulus.
Lorsqu'il reprend conscience, Wei Wuxian est encore plus horrifié lorsque Wen Qing et Wen Ning ont annoncé que la tour Koi a exigé la reddition des frères et sœurs Wen comme conditions d'une trêve. Wen Qing paralyse Wei Wuxian pendant trois jours, et ses derniers mots pour lui sont "Merci" et "Je suis désolé".
Immédiatement après avoir retrouvé l'usage de ses membres, Wei Wuxian se précipite vers la tour Koi, où il observe Jiang Yanli et Madame Jin agenouillés devant le cercueil de Jin Zixuan. Madame Jin alerte les gardes avant que Wei Wuxian ne puisse parler à Jiang Yanli.
Bain de sang de Nightless City
Errant de ville en ville dans un état second, Wei Wuxian surprend un groupe de cultivateurs de bas niveau discuter de lui. Ils prétendent que Wen Ning avait perdu le contrôle lors de sa reddition, tuant des cultivateurs de plusieurs clans, et que lui et sa sœur ont été brûlés vifs.
Wei Wuxian bat brutalement les hommes avant de voir l'annonce se répandre à travers la porte de la ville : une conférence d'engagement pour s'opposer au Patriarche Yiling, qui se tiendra à Nightless City.
Caché parmi les statues de bêtes célestes au sommet du Palais du Soleil et des Flammes, Wei Wuxian voit Jin Guangshan verser les cendres supposées de Wen Qing et Wen Ning, avant de s'engager à assiéger la cinquantaine de membres restants du clan Qishan Wen sur le Tumulus.
Wei Wuxian fait alors son entrée, rappelant à Jin Guangshan sa parole d'oublier la mort de Jin Zixuan et Jin Zixun si Wen Qing et Wen Ning se rendaient. Jin Guangshan répond que la perte de contrôle de Wen Ning a annulé leur accord et, pendant leur dispute, un archer tire sur Wei Wuxian dans la poitrine. Wei Wuxian riposte en lançant la flèche dans l'archer, le tuant et dévastant son jeune frère. Une bataille commence une fois que Wei Wuxian a utilisé Chenqing pour relever les nombreux cadavres autour de Nightless City.
Lan Wangji tente de le raisonner, mais Wei Wuxian est convaincu qu'il souhaite le tuer, affirmant même qu'il a toujours su qu'ils étaient destinés à se battre. Cependant, il reprend un peu de contrôle sur lui-même lorsqu'il entend Jiang Yanli crier son nom.
Wei Wuxian, Lan Wangji et Jiang Cheng se précipitent tous vers elle, mais dans son état d'esprit actuel, Wei Wuxian ne peut pas contrôler le cadavre qui la taillade dans le dos. Heureusement, elle n'est pas mortellement blessée et Lan Wangji envoie rapidement le cadavre.
Jiang Yanli exprime sans un mot qu'elle était venue parce qu'elle souhaitait revoir Wei Wuxian, et lui demande à haute voix d'arrêter les cadavres. Wei Wuxian accepte et la bataille commence à s'atténuer.
Soudain, Jiang Yanli le pousse et une épée lui transperce la gorge à la place. Le frère de l'archer a tenté de se venger de Wei Wuxian.
Hystérique à la mort de sa sœur, Wei Wuxian brise le cou du garçon, seulement pour être réprimandé pour sa cruauté. Désespéré, Wei Wuxian prend les deux moitiés du Yin Tiger Tally et les place ensemble pour commencer la bataille connue sous le nom de Bloodbath of Nightless City.
Dans la foulée, Wei Wuxian s'éloigne en titubant. Craignant pour sa vie, Lan Wangji l'emmène sur Bichen et le cache dans une grotte à Yiling. Il lui prête de l'énergie spirituelle et avoue ses sentiments, mais le traumatisé Wei Wuxian lui dit de "dégager". Lorsqu'ils sont retrouvés, Lan Wangji combat trente-trois anciens de son clan avec son épée pour ramener Wei Wuxian aux tumulus. Le traumatisé Wei Wuxian ne se souvient de rien de tout cela.
Décès
Dans les quelques mois entre le bain de sang et sa mort, Wei Wuxian détruit avec succès la moitié du Yin Tiger Tally. Jiang Cheng dirige finalement le premier siège des tumulus qui entraîne le massacre des restes du clan Qishan Wen et la mort de Wei Wuxian à cause d'un contrecoup spirituel.
Résurrection et Seconde Vie Village de Mo
Seize ans après la mort de Wei Wuxian, Mo Xuanyu utilise le rituel sacrificiel pour invoquer l'âme de Wei Wuxian dans le monde des vivants. Wei Wuxian se réveille au cousin de Mo Xuanyu, Mo Ziyuan , le battant pour avoir rapporté que Mo Ziyuan avait volé ses artefacts de culture. Wei Wuxian est amusé par la petite audace que ce jeune homme a pour le battre, ne sachant pas qu'il est en fait le redoutable Patriarche Yiling.
Après avoir lu l'histoire griffonnée de Mo Xuanyu, Wei Wuxiaan a noté que bien que son corps ait quatre blessures pour les quatre personnes sur lesquelles son esprit avait été invité à se venger, Mo Xuanyu n'a pas écrit les noms de ses victimes. Cela concerne Wei Wuxian, car le prix à payer pour ne pas accomplir la vengeance de Mo Xuanyu est la destruction de son âme.
Wei Wuxian fait finalement irruption dans le manoir Mo pour humilier la famille Mo devant les cultivateurs qui sont censés être en visite. Il est surpris de voir des disciples juniors du clan Gusu Lan, mais, improvisant son rôle de « fou », Wei Wuxian fait une scène pour embarrasser la famille Mo. À sa grande consternation, les blessures ne guérissent pas, indiquant que Mo Xuanyu voulait probablement que toute la famille soit exterminée.
Alors qu'il errait à l'extérieur du manoir Mo, Wei Wuxian se rend compte que les juniors utilisent un ensemble de drapeaux d'attraction spirituelle , sa propre invention. Il en vole rapidement un à Lan Jingyi pour s'assurer qu'il est écrit correctement. Lan Sizhui intervient lorsque Lan Jingyi indigné menace Wei Wuxian.
Cette nuit-là, cependant, Wei Wuxian est traîné hors de chez lui et accusé du meurtre de Mo Ziyuan, dont le corps a été retrouvé dans la cour. Les juniors du Gusu Lan Clan le défendent, notant que le travail est celui d'un esprit maléfique plutôt que d'un humain. En fait, un drapeau d'attraction spirituelle a été trouvé sur le corps de Mo Ziyuan, indiquant que son vol d'outils de culture a causé par inadvertance sa propre mort.
Wei Wuxian se rend compte que l'une de ses coupures est guérie, car la malédiction considère la mort par l'invention de Wei Wuxian comme l'accomplissement de la vengeance de Mo Xuanyu. Pourtant, il reste trois coupes.
Lorsque le mari de Madame Mo meurt de la même manière que son fils, Wei Wuxian se rend compte qu'ils font face à un adversaire extrêmement vicieux. Il choisit de rester pour le bien des juniors alors même que Lan Sizhui a envoyé un feu d' artifice de signal à l'aide, même si rester risque de révéler son identité.
Le complice fréquent de Mo Ziyuan, A-Tong, s'étrangle avec sa main gauche, donnant un aperçu de la nature de l'esprit. Wei Wuxian se rend compte qu'A-Tong n'était pas gaucher et qu'un bras gauche démoniaque le possède. Une seule coupure aurait dû rester, mais elle aussi disparaît. Wei Wuxian se rend compte que Madame Mo doit également être morte, et assez tôt, elle aussi se révèle être possédée. Lorsque le bras se révèle, Wei Wuxian murmure "réveillez-vous" à Mo Ziyuan, son père et Madame Mo, en utilisant les trois cadavres frais pour attaquer le bras gauche démoniaque.
À sa grande surprise, les trois cadavres frais ne font toujours pas le poids face au bras, mais à ce moment-là, Lan Wangji arrive au domaine pour maîtriser le bras. Craignant d'être reconnu par son ennemi perçu, Wei Wuxian fuit rapidement le village.
Montagne Dafan
Wei Wuxian vole un âne du village, une monture têtue qu'il nomme plus tard Petite Pomme en raison de son amour pour le fruit. Au cours de son voyage, il rencontre des cultivateurs de niveau inférieur, dont la gentille fille au visage rond , en route vers la montagne Dafan pour chasser une entité voleuse d'âmes.
Intrigué, Wei Wuxian se dirige lui-même vers la montagne Dafan. En passant par le village des Pieds de Bouddha, Wei Wuxian rencontre A-Yan , la seule villageoise à avoir retrouvé son âme, avant d'explorer la montagne. Sa recherche l'amène à découvrir plusieurs cultivateurs, y compris la fille au visage rond, détenue dans les Filets de liaison à la divinité par un junior du clan Lanling Jin qui a refusé de les libérer.
Le cadet le reconnaît alors, conduisant Wei Wuxian à discerner que le licencieux Jin Guangshan est probablement le père de Mo Xuanyu. Wei Wuxian se moque du garçon pour son arrogance, lui demandant si sa mère ne lui a jamais appris les bonnes manières, et est surpris lorsque le garçon réagit avec rage. Wei Wuxian utilise sa cultivation pour invoquer un fantôme pour alourdir le garçon afin qu'il puisse libérer les cultivateurs piégés.
Sa propre fuite est alors interrompue par l'arrivée de Jiang Cheng, révélant que le garçon n'est autre que Jin Ling . Jiang Cheng a ordonné à son neveu de tuer « Mo Xuanyu », car il déteste sincèrement les pratiquants qui imitent son ancien shixiong. Avant que Jin Ling ne puisse frapper, cependant, Lan Wangji intervient, suivi de près par les juniors du Gusu Lan Clan.
Lan Wangji révèle qu'il a détruit les nombreux filets de liaison à la divinité, considérant cela comme un avantage injuste pour Jin Ling. Avec Lan Wangji se tenant entre Jiang Cheng et "Mo Xuanyu", Jiang Cheng se retire finalement avec Jin Ling. Lan Wangji hoche la tête vers Mo Xuanyu en remerciement de son aide dans le village de Mo avant de partir avec le reste des disciples juniors. Une fois seul, Wei Wuxian se gifle pour ses remarques à Jin Ling, se blâmant pour la mort de Jiang Yanli et Jin Zixuan.
Après avoir parlé avec un fantôme, Wei Wuxian réalise la vérité derrière les événements de vol d'âme sur la montagne Dafan. La fille au visage rond lui donne des indications pour la grotte de la statue de la déesse , et alors qu'il se précipite vers l'emplacement, Wei Wuxian rencontre Lan Sizhui et Lan Jingyi. Il explique pourquoi leur utilisation de sa boussole du mal n'a pas fonctionné et aide les deux à conclure que la statue de la déesse a reçu suffisamment de prières pour devenir une déesse. En échange d'exaucer le souhait d'une personne, elle vole son âme.
Alors que Jin Ling tente de combattre la statue de la déesse qui le poursuit, Wei Wuxian cherche désespérément à sauver le neveu qu'il n'avait jamais rencontré dans sa première vie. Il forme une flûte de bambou de fortune et tente d'invoquer la créature fantomatique la plus puissante à portée de main.
À son grand étonnement, cette créature n'est autre que Wen Ning, malgré sa supposée brûlure il y a treize ans. Wen Ning bat la statue de la déesse et Wei Wuxian se rend rapidement compte que son ami n'est plus conscient. Craignant que Wen Ning ne nuise aux pratiquants, Wei Wuxian tente de l'éloigner et de le calmer en jouant WuJi . Cela révèle par inadvertance sa véritable identité à Lan Wangji.
Lorsque Jiang Cheng arrive sur les lieux, il suppose rapidement l'identité de Wei Wuxian. Wei Wuxian tente de s'enfuir, mais est frappé par Zidian dans une tentative futile d'expulser son âme. Il continue sa mascarade en tant que fou Mo Xuanyu, se plaignant de l'utilisation du pouvoir par Jiang Cheng, demandant même si Jiang Cheng souhaite le ramener à Lotus Pier à des fins sexuelles, avant d'ajouter que Lan Wangji est plus son type.
Bien que l'objectif de Wei Wuxian soit de dégoûter les deux hommes en le laissant seul, Lan Wangji déclare soudainement son intention de ramener "Mo Xuanyu" dans les Cloud Recesses avec lui.
Retour au Repaire des Nuages
À leur arrivée aux Cloud Recess, Wei Wuxian gémit bruyamment pour éviter d'entrer. Lorsque Lan Xichen s'approche et salue Wei Wuxian, avant de noter le bonheur de son frère. Il part ensuite pour planifier la prochaine conférence avec Jin GuangYao.
Bien que Wei Wuxian continue de pleurer et refuse d'entrer, Lan Wangji dit à Lan Sizhui et Lan Jingyi de le traîner à l'intérieur une fois qu'il aura fini de pleurer. À la surprise générale, Lan Wangji demande que Wei Wuxian soit emmené dans ses quartiers personnels, les Jingshi.
Conscient qu'il a besoin d'un jeton de jade pour s'échapper sans activer d'alarme, Wei Wuxian tente de braconner un jeton d'un homme se baignant dans les sources froides. Il est cependant distrait par les dizaines de cicatrices de coups de fouet sur le dos de l'homme et par une marque Wen Clan sur la poitrine de l'homme qui correspond à la marque que Wei Wuxian avait portée dans sa première vie.
À son grand étonnement, l'homme est Lan Wangji, et il renvoie rapidement Wei Wuxian au Jingshi.
Wei Wuxian se réveille tard le lendemain matin lorsque Lan Sizhui et Lan Jingyi frappent à la porte du Jingshi. Soudain, une alarme sonne bientôt et un disciple parvient à dire aux trois qu'un rituel a mal tourné avant de s'effondrer. Laissant le disciple aux soins de Lan Sizhui et Lan Jingyi, Wei Wuxian se précipite vers la scène, où les anciens du clan Gusu Lan, y compris Lan Qiren, avaient tenté d'effectuer une évocation sur le bras gauche démoniaque. L'énergie rancunière invoquée était si puissante que les anciens sont gravement blessés. Lan Wangji est le seul cultivateur encore debout, et avec l'aide de la flûte en bambou de Wei Wuxian, leur duo de Rest parvient enfin à pacifier le bras gauche démoniaque.
Remarquant que le bras pointe vers le nord-ouest, Lan Wangji dit à Lan Sizhui et Lan Jingyi de surveiller Lan Qiren pendant que lui et Wei Wuxian recherchent d'autres parties du corps démembrées.
A Qinghe
Les nombreuses tentatives d'évasion de Wei Wuxian sur le chemin de Qinghe se soldent par un échec. Finalement, les deux arrivent près de la crête de Xinglu, et Wei Wuxian est rapidement distrait par un charlatan se faisant passer pour un cultivateur. Il est consterné de voir que l'homme vend des portraits de suppression du mal, le dépeignant comme un homme grotesque et hideux alors qu’il était l’un des plus bel homme de la Cultivation.
Alors que Wei Wuxian tente de se disputer avec le charlatan, Jin Ling apparaît soudainement et renverse le stand. Alors que Jin Ling avoue qu'il méprise quiconque mentionne le nom de l'homme qui a tué ses parents, Wei Wuxian s'inquiète de l'arrogance de son neveu et décide de « bricoler ».
Jin Ling, toujours agacé après l'incident de la montagne Dafan, appelle son chien Fée en réponse. Dans la terreur, Wei Wuxian s'enfuit en criant à Lan Wangji de le sauver, et heureusement, Lan Wangji le fait.
Wei Wuxian et Lan Wangji sont dirigés vers les "châteaux mangeurs d'hommes" de la crête de Xinglu comme un endroit possible pour localiser un autre morceau du corps du bras gauche démoniaque. Ils découvrent rapidement les châteaux de pierre sur la crête. Wei Wuxian réagit avec terreur lorsque des aboiements retentissent, mais sa peur se transforme en inquiétude lorsque Lan Wangji remarque que le chien est celui de Jin Ling.
En entrant dans un château à travers un mur brisé, Lan Wangji joue l'Enquête pour parler avec un esprit proche. L'esprit n'est autre que Jin Ling, et Lan Wangji et Wei Wuxian sont capables de sauver Jin Ling d'une mort suffocante à l'intérieur des murs des châteaux de pierre.
À ce moment-là, quelqu'un fuit les châteaux de pierre et Lan Wangji les poursuit. Wei Wuxian ramène Jin Ling dans la ville près de la crête de Xinglu, mais découvre une marque de malédiction sur la jambe du garçon. Jiang Cheng capture Wei Wuxian avant qu'il ne puisse aider avec la marque de malédiction. Jiang Cheng traîne son ancien shixiong dans un magasin, où il l'interroge, et Wei Wuxian reconnaît sa véritable identité.
Jin Ling interrompt bientôt les deux, prétendant avoir vu Wen Ning. Après que Jiang Cheng soit parti pour chasser le général fantôme, Jin Ling révèle qu'il a menti et, comme il croit que Wei Wuxian est son oncle "Mo Xuanyu", déclare son intention de sauver Wei Wuxian en remerciement de l'avoir sauvé des châteaux de pierre.
Wei Wuxian s'excuse pour les paroles qu'il lui a adressées sur la montagne Dafan et ajoute qu'il y a deux phrases que tout le monde doit dire dans la vie : "Merci" et "Je suis désolé". Il assomme ensuite Jin Ling pour lui transférer la marque de malédiction de son neveu.
Lan Wangji est mécontent de trouver la marque de malédiction sur Wei Wuxian. Il l'appelle finalement par le nom de "Wei Ying". Reconnaissant son identité, Wei Wuxian demande comment il le savait, et Lan Wangji lui dit simplement de réfléchir lui-même à la réponse.
Compte tenu de sa marque de malédiction, Lan Wangji insiste pour transporter Wei Wuxian pour rencontrer la personne qui avait fui les châteaux de pierre. Wei Ying refuse, n’ayant aucun souvenir d’avoir proposé la même chose à Lan Zhan seize ans plus tôt. Il fut néanmoins surpris quand il sentit la main de Lan Zhan se poser sur son poignet. Il le mit sur son dos, le tenant avec douceur et fermeté contre lui, le maintenant sur son dos avec les jambes fines de Wei Ying. La personne n'est autre que Nie Huaisang qui est actuellement le chef du clan Qinghe Nie . Nie Huaisang explique à contrecœur le but des châteaux en tant que salle ancestrale du clan Qinghe Nie.
Ce soir-là, Wei Wuxian et Lan Wangji notent à quel point le bras gauche démoniaque réagit à la marque de malédiction sur sa jambe. Ils retournent aux châteaux de pierre dans la matinée pour trouver Nie Huaisang en train de reconstruire le château de pierre que Jin Ling a perturbé. Wei Wuxian conclut que Jin Ling doit avoir été à proximité de la jambe du bras gauche démoniaque pour recevoir une marque de malédiction sur la jambe, et Lan Wangji coupe à travers le pantalon de tous les cadavres enterrés dans les murs pour trouver les jambes de la mystérieuse victime.
Ville de Yi
Après Yueyang, le bras gauche démoniaque mène les deux vers la zone brumeuse de Shudong. Ils rencontrent un Paper Mannequin Nether-Brawler allongé le long du chemin menant à la ville de Yi, et entendent des pas mystérieux et un poteau de bambou. En entrant dans la ville, ils découvrent les juniors, dont Lan Sizhui, Lan Jingyi, Jin Ling et Ouyang Zizhen.
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Re: Wei Wuxian ou Sexy Yiling Laozu Lun 11 Oct - 19:22
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